Rentrée au travail après la maternité

La rentrée au travail est un des moments que la nouvelle maman ne voudrait jamais affronter, parce qu’elle est obligée à laisser son bébé aux grands parents, à la baby sitter ou auprès les crèches.
Surtout pendant la première période il est normal que la maman soit anxieuse, qu’elle se sent coupable d’avoir laissé le bébé avec d’autres personnes et elle voudrait avoir le don de l’ubiquité pour être au bureau et à la maison au même temps pour suivre constamment la croissance du bébé.

Comment vivre sereinement la rentrée au travail?

À la rentrée au travail il est très normal que la nouvelle maman éprouve anxiété et désorientation, en considérant qu’elle est restée longtemps à la maison. De plus à son retour il peut arriver que la maman trouve entre les collègues de différents équilibres et donc qu’elle ne se sent plus à l’aise.
Par conséquence il est très facile de se décourager puisque d’un côté il y a le bébé qui vous attend à la maison dans son landau, de l’autre il y a la nécessité de récupérer les rythmes avec le travail et avec tous les engagements qui augmentent jour par jour.

C’est un moment très délicat auquel il faut faire face avec le maximum de sérénité et les stratégies les plus opportunes: découvrons- les ensemble!

Quoi faire:

- demandez au directeur du personnel des horaires plus flexibles et des congés pour d’éventuelles maladies du bébé, garantis par la loi et par le contrat de travail de l’entreprise
- recueillez informations sur tout ce qui est arrivé pendant votre absence et sur les projets en cours
- répondez aux petites curiosités des collègues sur la grossesse, l’allaitement et la croissance du bébé: c’est un moment très important pour renouer les rapports d’amitié
- ne craignez pas le travail absorbant qui vous aiderait à vous intégrer en peu de temps et à augmenter la confiance en vous-même
- à la rentrée il est naturel d’être anxieuse et de vous sentir coupable à l’égard du bébé, c’est pour cette raison qu’il faut prendre des pauses, appeler à la maison pour s’assurer que tout marche très bien

À ne pas faire:

- ne permettez pas à la société de décider pour vous, mais décidez ensemble des horaires flexibles et les congés
- ne considérez pas votre substitute comme une menace, mais on vous conseille de lui demander une aide pour respecter les délais
- ne parlez trop aux collègues de couches et biberons pour éviter de les ennuyer et les éloigner, même s’ils représentent pour vous une nouveauté et donc il est normal que vous en parlez avec enthousiasme
- au début ne renvoyez pas le travail fatigant pour vous occuper seulement de petites tâches: de cette manière l’esprit et le corps se réhabitueront aux rythmes normaux
- dans le cas où on vous propose de changer votre tâche ne craignez pas le nouveau emploi mais profitez de cette opportunité pour faire expérience et grandir du point de vue professionnel.

Ne vous rendez pas!

Malheureusement beaucoup de mamans se sentent pénalisées sur le travail et sur la possibilité de faire carrière, puisqu’elles craignent de ne pas réussir à concilier efficacement travail et famille; cette sensation est aussi renforcée par leur manque de confiance dans l’effective capacité des entreprises, publiques et privées de leur offrir des services spécifiques qui peuvent supporter la difficile situation de la nouvelle maman.
Ne vous rendez pas, suivez vos rêves et faites valoir vos droits: de cette manière vous réussirez à vivre avec sérénité et confiance un des moments les plus beaux de votre vie.

Les hémorroïdes et la grossesse

30% des femmes enceinte souffrent d’hémorroïdes. Cette pathologie est causée par la manifestation de différentes circonstances qui se vérifient quand on attend un bébé, comme l’augmentation des œstrogènes, de la progestérone, du volume du sang et la pression abdominale. La cause principale est probablement l’augmentation volumétrique de l’utérus qui fait pression sur l’intestin et sur les veines anus-rectales en favorisant l’apparition des hémorroïdes et d’autres problèmes comme la constipation. Le problème s’aggrave dans les derniers mois de gestion quand le poids du fœtus augmente notablement et surtout pendant le travail et l’accouchement.

Le problème des hémorroïdes doit être évalué avec le médecin, il ne s’agit pas d’une pathologie sérieuse mais elle peut causer des complications à ne pas négliger comme l’anémie et les crevasses anales. Il est nécessaire de surmonter tout embarras et de demander des conseils au médecin sur les remèdes et les soins de ce phénomène pathologique.

Il y a différentes soins pour les hémorroïdes, selon la gravité et l’entité du trouble. Dans le cas où les hémorroïdes représentent un problème sérieux le médecin peut prescrire le traitement à base de médecins spécifiques pour les varices qui ne soient pas nocifs pour le fœtus ou à base de crèmes. Si les hémorroïdes ont surgi depuis peu de temps et elles ne causent pas de douleurs et troubles excessifs il est possible de les soigner en suivant de simples règles comportementales.

Il faudrait avant tout faire un peu d’exercice régulier, indispensable pour stimuler la motilité intestinale et pour favoriser le retour du sang veineux au cœur. L’activité sportive doit se dérouler avec toutes les précautions d’usage, en évitant des efforts excessifs et en se dédiant à des exercices conçus pour une femme enceinte. L’idéal serait de marcher beaucoup, en profiter pour emmener le chien se promener ou pour une promenade en ville. Si vous avez déjà un enfant on vous conseille d’éviter de le porter dans les bras ou avec le porte-bébé, il est mieux d’employer un landau ou une poussette canne.

Il faut avoir l’alimentation sous-contrôle pour qu’elle soit riche en fibres et liquides. De cette manière l’intestin sera plus régulier et l’évacuation impliquera moins d’efforts, avec une conséquente réduction du risque de saignements. Il faut éviter aussi de consommer d’excessives quantités d’aliments qui pourraient irriter la muqueuse intestinale, comme graisses animales, café, sucre, aliments épicés et de l’alcool évidemment. Il faut employer des savons neutres et de l’eau tiède en massant délicatement. Il faut absolument éviter de l’eau glaciale et aussi trop chaude.

Les vêtements ne doivent pas être trop serrés pour éviter la manifestation d’irritations et inflammations.
Pour résoudre ce problème il faudrait vaincre l’embarras et faire face à cette pathologie. Si les hémorroïdes ne sont pas négligées, elles n’apportent pas des complications considérables et elles disparaissent complètement 40 jours après l’accouchement. Si la situation n’améliore pas on peut recourir à une solution définitive: une petite opération chirurgicale déroulée en hôpital de séjour avec anesthésie locale.

Ne vous inquiétez pas: c’est seulement un des petits dérangements qui vaut la peine de supporter pour devenir mamans!

Alcool et grossesse

Dans la société moderne l’abus d’alcool a été toujours considéré une attitude typique de l’homme et en attribuant aux femmes une consommation inferieure et modérée.
Toutefois la facilité de repérer de l’alcool, la "mode “ou le besoin de boire pour oublier tous les problèmes quotidiens du couple, les problèmes de famille ou au travail peuvent entraîner les femmes, incluses les jeunes filles en âge fertile, à prendre une dose excessive d’alcool.

Le risque de dommages prénataux conséquents à la consommation d’alcool n’est pas négligeable et il s’agit d’un question délicate. En effet l’abus d’alcool (régulier et occasionnel) pendant la gestation peut provoquer des dommages au fœtus, qui risque de naître avec des dommages permanents.

Effets de l’alcool sur le fœtus

Si une femme enceinte consomme de l’alcool, il arrive directement dans le sang de l’enfant qui va naître à travers le placenta; le fœtus n’est pas capable de métaboliser l’alcool comme un adulte, par conséquence il reste plus longtemps exposé à ses effets nocifs.
Les dommages fœtaux peuvent être de deux types:

- SAF - Syndrome d'alcoolisation fœtale: elle touche les enfants nés par des femmes qui pendant la grossesse ont consommé régulièrement de l’alcool ; elle implique un retard de croissance du fœtus, dysfonctionnements du système nerveux central et de typiques malformations du crâne et du visage, comme par exemple microcéphalie, microphtalmie ou hypoplasie sur certaines parties du visage

- TNDLA Troubles Neuro-Développementaux Liés à l’Alcool: il s’agit d’une syndrome moins " violente" de la Fas qui peut toucher les enfants de " buveuses modérées". Les conséquences peuvent être des troubles comportementaux et de l’intellect (quotient intellectuel inférieur, problèmes avec la mémoire et à la motricité) et souvent des attitudes autistiques

Facteurs qui augmentent le risque

Il est très important de savoir que pas toutes les expositions à l’alcool dans le ventre comportent des dommages sérieux à la santé du bébé, malgré les probabilités soient hautes; en effet le risque d’accoucher un enfant touché par les pathologies décrites peut augmenter pour une série de facteurs:

- la quantité d’alcool consommée pendant la grossesse
- si la consommation a été chronique ou occasionnelle
- interaction avec d’autres substances comme médicaments, drogues et tabac
- prédisposition génétique
- conditions de vie
- facteurs alimentaires

Prévention et soin

Ces dommages fœtales causés par la consommation d’alcool pendant la grossesse peuvent être évités grâce à une prévention soignée.
En effet il est très important que les futures mamans et leurs partenaires soient informés sur les risques que l’alcool représente pour le bébé qui va naître en sachant qu’il n’est pas possible de définir une quantité de consommation d’alcool sans risques pour le bébé!
En plus, aussi après la naissance du petit, la nouvelle maman doit être consciente qu’elle aura encore des difficultés: en effet elle devra renoncer à l’allaitement naturel du bébé et employer le lait artificiel.

Dans le cas où la future maman abuse de l’alcool pendant la grossesse il est nécessaire l’intervention du médecin, il devrait la convaincre à arrêter de boire ou lui conseiller de s’adresser à un centre spécialisé dans le soin de problèmes d’alcool.
En effet un soin opportun peut aider le fœtus à se développer sain malgré il a été exposé à des grandes quantités d’alcool.

Il fait encore pipi au lit!

La perte involontaire d’urine est absolument normale chez les enfants très petits. Sous 2-3 ans de vie le bébé n’a pas encore appris à reconnaître la stimulation et donc il n’a pas encore la capacité de contrôler la vessie, c’est pour cette raison qu’il y a les couches. La capacité de se contrôler se développe progressivement pendant la croissance et elle doit être complètement acquise pendant la cinquième année.

Après cinq ans l’incapacité de contrôler la vessie s’appelle énurésie. Il s’agit d’un phénomène très diffusé surtout pendant la nuit, quand le bébé dort dans son lit. Le bébé qui souffre d’énurésie nocturne n’a pas normalement des problèmes pendant le jour, quand il réussit à contrôler ses besoins tranquillement et il va à la toilette régulièrement. On estime que les enfants de 5 ans qui font encore le pipi au lit sont 15%, pourcentage qui diminue progressivement avec l’augmentation de l’âge. Il est difficile d’établir les causes de l’énurésie nocturne. Probablement il s’agit d’une combinaison de facteurs psychologiques, héréditaires et hormonaux. On pense que le corps de certains enfants ne réussit pas à synthétiser suffisamment l’hormone antidiurétique (ADH). Souvent l’énurésie est facilitée du sommeil très profond des enfants qui leur empêche de percevoir la stimulation et se lever pour aller à la toilette. Parfois aussi quand le bébé a appris à contrôler les stimulations il est possible qu’il y a des rechutes, dues surtout à des troubles psychologiques causés par des événements comme le début de l’école maternelle, l’arrivée d’un petit frère ou la séparation des parents.

Il y a deux types d’énurésie nocturne

• Énurésie primaire: il s’agit d’un retards dans l’accomplissement du contrôle de la stimulation et elle est causée par la maturation pas complète de la vessie ou par le manque de l’hormone antidiurétique. Dans tous les deux cas le problème s’atténue jusqu’à disparaître complètement avec le contrôle et le conseil du médecin;

• Énurésie secondaire: il s’agit d’une sorte de régression dans les attitudes de l’enfant qui fait pipi au lit de nouveau même s’il a déjà acquis le contrôle complet de la miction. Cette forme est souvent liée à des causes psychologiques et aux situations de stress et anxiété.


En tout cas le pipi au lit est un problème qui ne doit pas apporter des excessives préoccupations aux parents. Si le trouble est grand et l’enfant en ressent au niveau psychologique c’est le cas de s’adresser au pédiatre qui pourra conseiller les bons remèdes et éventuellement prescrire les médicaments à base d’hormone antidiurétique.

Au-delà des prescriptions du médecin il y a des simples précautions à suivre qui peuvent aider à résoudre le problème.

Le premier conseil qu’on peut donner aux parents d’un bébé qui fait pipi au lit est d’éviter de le reprocher ou le ridiculiser, en éliminant donc des conséquences négatives sur l’état psychologique du bébé, car il s’agit d’un phénomène involontaire.
Les papas et les mamans doivent donc être le plus possible compréhensifs et tolérants, en évitant de gronder le bébé quand il fait pipi au lit mais aussi de le célébrer excessivement quand il le fait. Louer le petit, le récompenser avec des nouveaux jouets ou avec des éloges particuliers sont des attitudes mauvaises qui engendrent un sens du devoir insensé qui se transformera en frustration dans le cas où il devait baigner le lit de nouveau.

Le soin de l’alimentation est un autre facteur qui pourrait aider à résoudre le problème ou à en réduire les proportions. Les aliments à éviter sont le chocolat, les aliments peu sains, les colorants artificiels, les boissons gazeuses et les glucides raffinés. Par contre on conseille les aliments complets et des herbes comme le maïs, le persil, le plantain, la paille d’avoine et le diosma. Le bébé ne devrait pas boire de l’eau excessivement pendant le dîner et le reste de la soirée. Avant d’aller se coucher le bébé devrait aller à la toilette de manière à se coucher avec la vessie complètement vidée.

Mamans ne vous inquiétez pas: si vous suivez ces conseils et les indications du médecin vos bébés ne baigneront plus les draps.

Peg Perego et Inglesina: Enfin les nouvelles collections!

Chez Bimbomarket viennent d’arriver les nouvelles collections Peg Perego et Inglesina 2010 !

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Ma petite pouce dit toujours "non"!

C’est généralement vers l’âge de deux ans que aussi les enfants les plus tranquilles entrent dans ce que l'on appelle communément "la phase du non", c’est-à-dire une phase d’opposition caractérisée par l’emploi fréquent du mot "non" . Il s’agit d’une étape transitoire et naturelle du développement infantile qui va perdurer jusqu’à l’âge de 3-4 ans.
Il est très important que les parents soient conscients que cette attitude de l’enfant est absolument normale pendant sa croissance et ils ne doivent pas en imputer la responsabilité à leur inadéquation sur le plan éducatif.

Que signifie cette phase d’opposition?

Les trois attitudes que le bébé adopte pendant cette phase sont trois:

- chaque demande de la part des parents ou de n’importe quel adulte s’oppose au refus net du bébé
- il réagit avec rage et parfois avec des véritables crises, en se jetant par terre, en criant ou en ruant si on lui nie quelque chose
- il désobéit toujours plus souvent pour défier les adultes et leurs règles

À travers la découverte du "non", le bébé affirme son autonomie, en tant qu’individu doté de personnalité, volonté, caractère et pensée; c’est dans cette période que le bébé commence à employer le pronom personnel "je" et il ne se réfère plus à lui-même en troisième personne (Luc s'amuse sul la balancelle) pour communiquer qu’il est en train de prend conscience jour après jour de son individualité.
À travers le "non", le bébé accomplit un grand pas envers la conquête de l’autonomie par rapport aux parents, en créant une distance avec eux.

Une autre raison qui pousse le bébé à cette attitude est la volonté de comprendre jusqu’à quel point il peut imposer sa volonté sur ses parents et donc quels sont par conséquence les limites qu’il peut ou ne pas dépasser.
C’est pour cette raison que les réactions des parents ont une véritable valeur dans l’éducation du bébé. En effet les attitudes trop rigides tendent à exaspérer son attitude d’opposition d’un côté et à réprimer sa naturelle recherche d’indépendance de l’autre; par contre un pessimisme excessif risque de désorienter le petit en lui empêchant de se créer des règles pour agir avec sécurité.

Quoi faire?

Il est important de suivre des simples conseils pour faire face et dépasser au mieux cette phase naturelle du petit:

- rester calme et serein face aux prises
- éviter les défis en cherchant à ne pas être trop rigides ou impératifs
- lui donner des alternatives pour ne pas avoir une réponse négative de sa part et pour obtenir plus disponibilité
- établir des simples règles à respecter à la place de remplir la journée du bébé d’interdictions continuelles (comme par exemple lui empêcher de sortir ses jouets de la panière, aller dormir à l’heure établie ou ne pas s’agiter dans la chaise haute quand il mange)
- apprendre à faire face à ses scènes plutôt que céder au chantage de ses caprices

Cette attitude du bébé est seulement une phase transitoire qui va se résoudre pendant le temps et c’est pour cette raison qu’il est très important de l’affronter le mieux possible avec sérénité et vous verrez qu’elle finira toute seule.

L’éczema infantile

L’éczema infantile constitue une réaction excessive de la peau du bébé à des stimulations endogènes et exogènes. Il y a différents types de dermatites, qui peuvent se manifester sous forme de rougeur, démangeaison, vésicules, œdème, lichénification et desquamation. L’éczema dépend de différents facteurs et il peut être causé par inhalation, contact ou par aliments.

Il y a trois typologies d’éczema infantiles.

La dermite atopique

Le terme atopique indique une condition de réactivité augmentée de la peau par rapport à des stimulations qui normalement sont inoffensives. Ce type d’éczema peut atteindre enfants de tous les âges mais en particulier pendant leur première année de vie. Elle provoque une démangeaison très forte qui tend à s’aggraver le soir.
La dermite atopique est une affection inflammatoire prurigineuse chronique qui est sous la dépendance de facteurs héréditaires (métabolisme altéré omega 6) mais dont l'augmentation de prévalence au cours des dernières décennies s'explique préférentiellement par l'influence de facteurs environnementaux (présence de certains allergènes) ou de type psychosomatique, comme il arrive pour beaucoup de pathologies cutanées. Pendant l’allaitement la dermite atopique se manifeste généralement après le troisième mois, en comportant démangeaison et rougeur qui se situent avant sur le front et joues et ensuite sur le tronc et sur les plis des jambes et des avant-bras.
Chez les enfants avec plus d’un an les taches se manifestent aussi sur les plis du cou, les mains, les coudes et les genoux. Chez les adolescentes par contre l’éczema peut apparaître sur la nuque, sur les paupières et sur les commissures des lèvres.

La dermite de contact allergique
La dermite de contact allergique survient après une exposition répétée à l'allergène. Elle se traduit par un eczéma se répétant à chaque nouveau contact, la première poussée survenant dans la zone exposée à l'allergène, les lésions pouvant ensuite s'étendre. Les substances qui peuvent provoquer une dermite de contact allergique sont nombreuses comme: le nickel, le chrome, le cobalt, les parfums et les conservateurs qui se trouvent dans les produits comme détergents et crèmes, mais aussi dans le dentifrice, les pansements. Aussi certains types de chaussures peuvent déclencher une réaction allergique à la peau du bébé.

La dermite de contact irritant

Souvent il arrive que le contact avec certaines substances déclenche une irritation et pas une véritable réaction allergique. Les enfants et les nouveaux-nés sont généralement touchés par deux typologies de dermite de contact irritant. La première est la dermite irritante qui atteint la région de la couche, la soi-disant napkin dermatitis. Il s’agit d’une dermite due au contact de la peau délicate du bébé avec les couches sales: d’habitude elle survient quand le bébé est capable de rester assis et donc après le cinquième mois de vie. La dermite péri-orale touche la région autour de la bouche et elle atteint surtout les jeunes femmes et moins fréquemment les enfants et les hommes. Si ce type de dermatite atteint les bébés il est possible qu’il s’agit d’une irritation due à la sucette, mais en réalité les causes de la dermite péri-orale ne sont pas encore été identifiées avec certitude.

Les éczema infantiles sont soignés d’habitude par l’administration de cortisones, stéroïdes à usage local, émollients et hydratants pour la peau. Dans tout cas le traitement doit être décidée par le dermatologue suite à un examen et donc il ne peut pas être improvisé.
Il arrive souvent que les parents identifient la cause de l’éczema dans un aliment en particulier en commençant à réduire et à modifier les aliments de la bouillie de leur petit: il faut absolument éviter cette attitude et de prendre toute initiative personnelle.

La dépression post-natale

Beaucoup de mamans connaissent un épisode de dépression dans les premiers jours après l’accouchement.
En effet, il peut arriver que la nouvelle maman se sent triste sans une véritable raison ou qu’elle pleure en se sentant incapable par rapport aux nouvelles responsabilités qui l’attendent.
L’état d’âme ne doit pas effrayer, parce que dans la plupart des cas il s’agit d’une réaction naturelle et physiologique due à la fatigue de l’accouchement et à la réorganisation hormonale qui se vérifie après la naissance du bébé dans le corps d’une femme.

Typologies et traitements

- Le baby-blues:
C’est la forme la plus légère qui se manifeste avec des crises de larmes et états de chagrin et anxiété; elle tend à disparaitre en quinze jours au maximum et elle ne demande pas des soins précis, seulement un peu de patience et l’amour des amis et des proches qui entourent la nouvelle maman.

- La dépression post-natale:
Dans ce cas il y a plusieurs symptômes qui se manifestent sous différentes formes par durée et par fréquence; c’est-à-dire insomnie ou sommeil excessif, larmes inconsidérées, indifférence pour le bébé, peur de faire du mal au bébé ou à elle-même, changements d’humeur soudains, indolence et fatigue. La durée de ces symptômes varie de quelques semaines à un an; dans ce cas il est bien conseillé l’administration d’antidépresseurs (avec interruption de l’allaitement) et psychothérapie aussi au-delà de la disparition des symptômes.

- La psychose post-natale:
Et pour terminer il y a la forme la plus grave de dépression qui demande des soins opportuns; en effet les symptômes sont des états d’agitation, confusion, pessimisme, malaise social, insomnie, paranoïa, hallucinations. Dans ce cas la vie du bébé ou de la maman même peut être en danger. La solution est l’hospitalisation et toute une série de soins adéquates aux formes de psychose détectées.

Les causes

Les facteurs qui pourraient influer sur l’apparition de ce phénomène sont des écarts hormonaux, états d’anxiété pendant la période de la grossesse, événements traumatiques de la dernière année, difficultés sociales et conflits conjugaux ou familiers. Souvent la dépression post-natale apparaît dans les mères célibataires qui résultent faibles du point de vue émotif.

Comment prévenir la dépression post-natale

En sachant qu’il y a des causes naturelles liée à la physiologie de la maman et à ses états d’âme, il est possible quand même de prévenir ou atténuer les manifestations de la dépression en intervenant au niveau psychologique.

Par exemple, il peut être très utile de limiter les visites pendant les jours suivants au retour à la maison après l’accouchement, il est conseillé à la maman de dormir dans les mêmes heures où le nouveau-né dort, de se créer des espaces aussi avec le bébé comme par exemple lui changer les couches, de suivre un régime qui évite des excès, de consolider le rapport avec le compagnon, amis et proches.
En plus il est très important de demander aide quand on en a besoin et on doit chercher à être réaliste aussi par rapport au bébé, avec la conscience qu’il s’agit d’une situation temporaire qui va se résoudre en peu de temps en laissant espace aux joies que la maternité peut donner.

Il est bien conseillé aux personnes proches à la nouvelle maman de lui offrir aide dans tâches ménagères, de s’offrir pour se promenant avec le bébé avec le landau, de l’écouter et de lui donner du soutien.

Le sommeil pendant la grossesse

Pendant la grossesse la façon de se reposer subit des transformations inévitables. Pendant les premiers mois la haute quantité de progestérone comporte une augmentation de la somnolence et un prolongement du sommeil. En plus il arrive que les futures mamans se dédient excessivement aux typiques activités de la période pre-accouchement, prises par l’enthousiasme et l’anxiété de pas avoir assez de temps de penser à tout, en arrivant le soir en état d’excessive fatigue. La préparation de la chambre, le choix et l’achat de la poussette, du landau et de tous les produits pour le bébé sont inévitablement cause de fatigue. Malgré l’augmentation de la fatigue et de la somnolence, pendant les premiers mois de grossesse aussi les réveils de nuit augmentent aussi à cause de la nécessité d’aller à la toilette. À partir du sixième mois on a plus de difficulté à trouver la bonne position et les premiers problèmes d’insomnie pourraient surgir en augmentant pendant le troisième trimestre. Dans cette dernière phase de la grossesse en effet toute une série de troubles comme brûlures d’estomac, douleurs aux jambes, nausée et le bébé qui donne des coups de pied surgissent en rendant le sommeil très difficile. Il est nécessaire de suivre des précautions pour réduire au minimum les effets de ces troubles de manière à dormir tranquillement et sans dérangements.

Il faut avant tout adopter la bonne position. La position conseillée par les médecins pour les derniers trois mois de grossesse est la position latérale sur le côté gauche, avec les genoux légèrement pliés.
De cette manière on évite que le poids du bébé fasse pression sur les organes internes et sur la veine cave inférieure, la veine qui fait circuler le sang des membres inférieurs au cœur. Dans le cas où cette veine s’écrase il y a le risque de s’exposer à des troubles comme des baisses de tension, vertiges et fatigue. En plus cette position permet de réduire le ballonnement et la rétention d’eau en améliorant sensiblement le passage des nutriments au placenta. Si on n’a pas l’habitude de dormir sur le côté il est possible de rencontrer des difficultés dans la tentative d’adopter cette position pendant la grossesse. Il est bien conseillé de l’adopter déjà à partir des premières semaines, de manière à s’habituer graduellement. Si on ne réussit pas à être à l’aise il est possible de s’aider avec des oreillers: un entre les jambes pour donner du soutien aux cuisses, un derrière et un sous le dos. Dans le commerce il est possible de trouver des oreillers adéquats pour la grossesse ou en alternative les oreillers traditionnels.

L’alimentation est un autre élément très important pour un repos serein pendant la grossesse. Très souvent les troubles pendant la nuit sont causés par des problèmes de digestion et c’est pour cette raison qu’il ne faut pas consommer des repas lourds en évitant des aliments acides, frits, plats trop assaisonnés et épicés. Il est superflus de dire que pendant la grossesse il ne faut absolument boire de l’alcool et fumer. Ces comportements peuvent représenter une menace pour la santé du bébé mais aussi ils provoquent des troubles sérieux dans le sommeil. Il faut absolument réduire la consommation de boissons avec substances excitantes, comme café, thé et les boissons à base de caféine, comme la Coca Cola. Il est bien conseillé de boire beaucoup d’eau, mais il est mieux de boire plus pendant le jour que le soir, pour éviter de se réveiller pendant la nuit pour aller à la toilette.

Un autre facteur qui influe sur la sérénité du sommeil est sans doute la chambre à coucher, qui doit satisfaire toutes les exigences de la future maman pour l’aider à se relaxer. La chambre doit être confortable et elle doit avoir la bonne température et un bon niveau d’humidité.

Pour profiter d’un bon sommeil réparateur il faut arriver le soir en complet relax et tranquillité. C’est pour cette raison qu’il faut avoir un sommeil régulier, pour affronter la journée sans se fatiguer ou se stresser excessivement. Il est bien conseillé de se reposer pendant l’après-midi, mais pas plus qu’une heure, parce que si on dort trop pendant le jour on risque de souffrir d’insomnie pendant la nuit. L’esprit doit être insouciant et on ne doit pas permettre que l’anxiété des choses à faire puisse troubler la tranquillité.

Il est bien conseillé de garder les vieilles habitudes qui normalement sont employées pour se relaxer: un bain chaud, quelques pages d’un bon livre et toute habitude capable de concilier le sommeil est absolument conseillée.

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Perdre du poids pendant la grossesse

La naissance d’un bébé est sans doute une des expériences les plus fantastiques qu’une maman peut vivre, une joie si grande qui annule le désagrément et la douleur de la grossesse et de l’accouchement.
Malheureusement un effet de cet extraordinaire événement est l’augmentation du poids de la part de la nouvelle maman, qui souhaiterait maigrir tout de suite même s’il s’agit d’une conséquence physiologique, normale et plus que nécessaire, surtout s’elle allaite le bébé.
Il est bien conseillé de ne pas perdre du poids trop rapidement après l’accouchement, parce qu’il faut au moins de trois à six mois pour le perdre naturellement.

Petits conseils pour se remettre en forme

Les mamans qui perdent du poids trop rapidement après l’accouchement ou pendant l’allaitement sont un petit pourcentage. Le mode le plus efficace pour se remettre en forme est unir le régime à l’activité physique (et ne pas insister plus sur un des deux) et de suivre des petits conseils:

- Aucun régime pendant l’allaitement: votre bébé aura besoin de beaucoup de nutriments spécifiques comme le calcium, fer et protéines; en plus pendant l’allaitement vous consommerez beaucoup de calories par rapport à celles nécessaires à votre organisme et vous sécrèterez des hormones qui favorisent la perte de poids en réduisant le volume de l’utérus.

- Sortez le plus possible: allez à la salle de gym quand vous pouvez, commencez un cours de piscine, faites du yoga ou simplement allez balader votre bébé : en effet faire des promenades avec la poussette vous aidera à vous remettre en forme

- Buvez beaucoup d’eau: il est important pour votre organisme, surtout si vous allaitez

- Mangez et cuisinez en cherchant à limiter le sel qui cause la rétention d’eau et à éviter les gâteaux, les fritures, les boissons gazeuses et l’alcool; les légumes doivent être toujours sur votre table. Ajouter deux collations aux trois repas principaux pour éviter que vous arriviez affamée au repas successif

- Reposez-vous: il est important de dormir au moins 8 heures par nuit, puisque pendant le sommeil on produit de la leptine, un hormone qui provoque la sensation de satiété

- Partagez votre but: la complicité de votre mari, vos amies ou le soutien de la famille vous encourageront et vous aideront à rejoindre plus facilement le but, aussi dans les moments les plus difficiles ou de découragement.

Écoutez notre corps

Il ne faut jamais s’oublier que notre corps a changé pour une raison importante et naturelle, c’est-à-dire la naissance d’un enfant et il ne faut absolument être filiformes pour être charmante contrairement à ce que la société d’aujourd’hui veut nous faire croire.
Mais si perdre du poids vous fait sentir mieux il est très important de procéder toujours graduellement. Vous devez chercher à ne pas exagérer, écouter votre corps, vous créer des espaces de relaxation entre bouillies et couches: de cette manière vous réussirez à faire face à toute épreuve!

Le sexe pendant la grossesse: conseils et risques

La grossesse a souvent des conséquences sérieuses sur l’activité sexuelles des futures parents. Les raisons qui poussent les couples à interrompre ou à réduire drastiquement leurs rapports intimes peuvent être plusieurs. Mais souvent l’abstinence est causée par des facteurs exclusivement psychologiques, liés aux convictions étiques et morales. Il peut arriver en effet que les futures parents ne se sent pas à l’aise à faire l’amour pendant la grossesse, en le considérant un acte amoral ou quand même peu approprié à la situation. Pour ce qui concerne la femme, les transformations physiques lui donnent la sensation qu’elle n’est plus charmante en la poussant à refuser l’idée d’avoir des rapports intimes.

Il arrive aussi que les futures mamans et papas décident de ne pas avoir des rapports intimes, parce qu’ils croyaient qu’il y a des contre-indications médicales. À ce propos il faut préciser que le sexe pendant la grossesse n’est pas absolument dangereux pour le fœtus et que si la grossesse procède sans des problèmes particuliers il n’y a aucune complication. Le bébé dans le ventre maternel est bien protégé dans le sac amniotique et il est impossible qu’il puisse être comprimé pendant un normal rapport. Souvent on craint de transmettre des microbes et donc de causer des infections au fœtus. Aussi cette crainte résulte absolument infondée du point de vue médical: le col de l’utérus est isolé par une muqueuse qui empêche l’accès à tout microbe en protégeant 100% le bébé.

Il y a par contre des situations particulières où il est nécessaire, sous indication du médecin, d’interrompre l’activité sexuelle pendant la grossesse. En particulier il ne faut pas avoir des rapports intimes en cas de:

• Menaces d’avortement
• Prédisposition aux accouchements prématurés
• Dilatation sérieuse du col de l’utérus
• Perte du liquide amniotique
• Risque de décollement du placenta
• Présence de plus d’un foetus

Généralement il est bien conseillé d’éviter des rapports sexuels chaque fois qu’on est en présence de complications qui rendent la grossesse à risque. Il faudrait éviter les rapports complets pendant les dernières semaines de la grossesse, puisqu’ils puissent stimuler la naissance prématurée.

Sauf pendant les dernières semaines, en présence d’une grossesse à bas risque le couple peut garder sans problèmes une normale vie sexuelle, pour que cet événement extraordinaire soit vécu en complète sérénité sans le stress déclenché par des privations inutiles. Il faut souligner que l’activité sexuelle subira inévitablement une diminution pendant la période post-accouchement et à ce point il ne vous reste que de patienter. Après l’accouchement naturel ou césarien il est bien conseillé d’interrompre les rapports sexuels pour une période variable d’un à trois mois. Souvent en cas d’accouchement naturel il est nécessaire d’effectuer une petite suture qui empêche la femme d’avoir des rapports pendant la puerpéralité. Pendant cette période l’obstacle est représenté par l’état psychologique de la nouvelle maman qui peut être victime d’états dépressifs plus ou moins sérieux. Il ne faut pas sous-évaluer la fatigue et le stress qu’on vit inévitablement quand un nouveau-né arrive: entre tétées, biberons et changes de couches il arrivera souvent de se réveiller pendant la nuit et à ce point la fatigue pourrait prévaloir sur tout type de désir.

Contrairement à ce qu’on pense il est possible de tomber enceinte pendant la période de l’allaitement. En effet l’allaitement réduit l’activité ovarienne mais il ne l’annule pas grâce aux hauts niveaux de prolactine et donc il peut arriver que après l’accouchement des ovulations périodiques recommencent.

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À partir d’aujourd’hui, en avant-première sur Bimbomarket, il est possible acheter les nouveaux de la marque Chicco, le Trio Living et le Trio Enjoy Fun !

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Pratique, maniable et léger, le Trio Living Chicco suit la croissance du bébé, jours par jours, de la naissance jusqu’à 3 ans. Cet incroyable Trio se compose de:
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Le Trio Living, au prix exceptionnel de 599 €, est disponible en 8 fantastiques couleurs !

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L’incroyable Trio Enjoy Fun caractérisé par design, praticité et confort est disponibles en 6 différentes couleurs au prix exceptionnel de 299 € ! Il est réalisé en tissus techniques très résistants qui le rendent l'idéal pour les enfants et les parents sportifs et dynamiques et pour se promener partout !

Le Trio Living et le Trio Enjoy Fun vous attendent sur Bimbomarket, le mégastore à l’épreuve de bébé.

Conservation des cellules souches du cordon ombilical

Les cellules souches ont la capacité de produire des cellules spécialisées dans des registres différents, par divisions successives.
Elles ont deux fonctions : la première consiste à s’auto renouveler pour garder un même nombre de ce genre de cellules et la deuxième sert a fournir des cellules indifférenciées.
Il existe deux grands types de cellules souches. Les cellules souches embryonnaires et les cellules souches adultes.
Leur conservation représente une ressource très importante, grâce à laquelle il est possible de soigner avec efficacité des maladies très sérieuses par rapport au passé.

Cellules souches et cordon ombilical

Les cellules souches se trouvent surtout dans la moelle épinière et dans le sang du cordon ombilical.
Les cellules souches du cordon ombilical sont uniques du fait de leur capacité plus importante que celle des cellules souches adultes à produire différents tissus humains. Cette propriété étonnante est désormais utilisée pour élaborer des traitements en vue de soigner des maladies graves chez l’homme.
La thérapie cellulaire à partir de cellules souches est aujourd’hui expérimentale. Elle est encadrée par les lois de bioéthique. Ces lois doivent être mises à jour en France fin 2009 et autoriseront probablement enfin l'ouverture de la première banque privée de cellules souches de cordon ombilical en France.

Aujourd'hui, il existe soixante quinze maladies qui peuvent être traitées par ces cellules souches (drépanocytose, certaines leucémies etc.).
Mais la thérapie cellulaire comporte également des risques non encore maitrisés à ce jour : risque de développement de tumeurs ou de tissus anormaux ; risque de rejet.

Le prélèvement de sang de cordon ombilical

Il est possible aujourd’hui de prélever le sang de cordon ombilical immédiatement après l’accouchement, puis de le congeler et de le garder dans une banque spécialisée (cryoconservation).
La méthode de prélèvement est simple, non invasive. Le prélèvement est effectué par l'obstétricien ou par la sage-femme ayant pratiqué l'accouchement en permettant à la maman de soigner tout de suite son bébé, de commencer l’allaitement et après quelques jours de rentrer à la maison avec le petit dans le landau.
Après l'expulsion fœtale et avant la délivrance du placenta, une poche de prélèvement est reliée au cordon par l'intermédiaire d'une aiguille et d'une tubulure. Le cordon est ainsi vidé de son sang qui contient les cellules souches. Les cellules souches ainsi obtenues sont parfaitement compatibles avec le nouveau né. Elles peuvent l’être parfois également avec la fratrie, avec un parent voir même avec d’autres membres de la famille.

Actuellement plusieurs laboratoires permettent également la congélation du cordon ombilical lui même, afin d'essayer d'exploiter les cellules souches (cellules mésenchymateuses) contenues dans la gelée de Wharton (couche gélatineuse qui enveloppe le cordon ombilical).
Cette technique ouvre de nouvelles perspectives thérapeutiques mais également de nombreuses questions d'éthique.

Banques de cellules souches issues de sang de cordon

Avec plus de 130 millions de naissances dans le monde chaque année et plus de 816 000 en France, le cordon ombilical et son sang forment un réservoir exceptionnel de cellules souches facilement accessibles et sans controverse éthique.
En France il n’est possible de donner le sang de cordon ombilical de son enfant que dans quelques maternités affiliées à une banque publique en faisant un don anonyme et gratuit.
Contrairement à la plupart des autres pays européens, la France n’a pas créé de cadre spécifique pour encadrer le développement de bio banques privées.
Ainsi de plus en plus de parents font le choix de conserver le sang de cordon ombilical de leur enfant dans une bio banque privée à l’étranger pour une utilisation familiale. Le sang est expédié à l'étranger, dans des conditions de transport spécifiques, puis à l'arrivée, est analysé puis congelé (cryoconservation).

Les frais sont à la charge de la personne demandeuse du prélèvement et sont de l'ordre de 1000 à 2000 euros pour 20 ans de congélation.
En effet beaucoup de mamans considèrent cette dépense une véritable assurance vie et pour en profiter ils se privent d’un nouveau électroménager ou achètent des produits pour enfants moins coûteux.
Une troisième voie de conservation « familiale solidaire » (développée par exemple par la bio banque Cryo-Save) permet aux parents qui le souhaitent de conserver de manière privée le sang de cordon ombilical de leur enfant avec la possibilité de mettre ces cellules à disposition d’un patient compatible.
Ces formidables progrès de la recherche et de la médecine ne pourront se développer que si le sang de cordon et le cordon ombilical ne sont plus considérés comme des déchets mais en donnant la possibilité aux parents de conserver ces cellules au sein de bio-banques spécialisées.

Les crevasses du mamelon

L’allaitement au sein est une des expériences la plus enthousiasmante qu’une femme peut vivre, mais quelques fois des malaises et des problèmes surgissent en contraignant certaines mamans à interrompre l'allaitement au sein et en optant pour le biberon.

Un des ses problèmes est représenté par les crevasses du mamelon.
Les crevasses du mamelon sont un accident de l'allaitement entraînant une douleur extrême, qui devient facilement source d'angoisse, de panique pour la mère, d'où réticence à donner le sein, crispation, mauvaise éjection du lait, risque d'engorgement.
Les crevasses sont des petites gerçures du mamelon qui présentent des traînées rouges à sa surface et de fissures allant jusqu'à diviser la surface du mamelon. L'ensemble du mamelon présente une coloration rouge vif (coloration framboise) et on constate quelquefois la présence de saignements pendant les tétées.

La cause principale des crevasses est un mauvais positionnement de l'enfant au sein: un enfant qui ne prend pas dans sa bouche une vaste surface mamelonnaire, qui pince le mamelon ou qui tire de façon inégale sur le mamelon, va déclencher la formation d'une crevasse. Une hygiène mamelonnaire inadaptée peut aussi être en cause.

Le traitement consiste à se laver les mains fréquemment et à nettoyer le bout des seins sans utiliser de médicaments antiseptiques qui peuvent être agressifs pour la peau, mais simplement du savon neutre. L'application d'éosine aqueuse est souhaitable. Certains médecins préconisent des pommades à base de vitamine A ou E et de lanoline.
La position du bébé et la prise de la totalité du mamelon dans sa bouche semblent jouer un rôle favorable pour éviter la survenue des crevasses.
Une fois bien positionné l’enfant mettez sa bouche correctement en place.
Lorsque vous présentez votre mamelon à l'enfant, faites en sorte qu'il ouvre grand la bouche, vous pouvez, par exemple, effleurer sa bouche avec votre mamelon toujours pointé vers son palais, d'un coin à l'autre des lèvres.
Quand le bébé ouvre la bouche, mettez- le au sein avec le bras qui vous sert à le soutenir.
Un bébé qui prend bien le sein doit couvrir plus d'aréole avec sa lèvre inférieure qu'avec sa lèvre supérieure.
Au début de l'allaitement, programmez des tétées fréquentes et de courte durée, c’est-à-dire pas plus de 15 minutes.
Ne désinfectez pas le mamelon avec des produits pharmaceutiques ou alcoolisés: une bonne douche quotidienne avec savonnage des seins suffit largement. Après chaque tétée, rincer le sein à l'eau claire et étalez un peu de lait sur le mamelon.
Donnez un seul sein à chaque tétée, pour faire reposer l'autre. Appliquez un glaçon sur le sein blessé, 10 minutes avant la tétée: le froid est un bon anesthésique, et prenez 500 à 1000 mg de paracétamol une demi-heure avant la tétée (pas plus de 3000 mg par jour).
Utilisez une crème grasse sur le mamelon après la tétée. Ne lavez pas le sein avant la tétée suivante, pour en retirer la crème. Entre les accessoires pour l’allaitement les coquilles de protection pour les mamelons peuvent résulter très utiles puisqu’ils évitent le frottement du soutien gorges .
Si, malgré toutes ces précautions des crevasses sont apparues il est préférable de laisser les seins à l'air le plus souvent possible.

Introduction à l’achat de la table à langer

La table à langer meuble la chambre de votre bébé et au même temps c’est un article fonctionnel et indispensable pour le soin du nouveau-né. Ce meuble pratique est employé par les mamans pour changer leur petit en tout confort.
Généralement les parents qui changent pour la première fois leur bébé ou qui lui donne le bain sont agités et donc il est nécessaire de finaliser cette opération délicate en tout confort!

Grâce au plan horizontale de la table à langer qui est généralement rembourré avec des tissus atoxiques, la maman peut allonger le bébé sur le dos et le changer sur une serviette. La base en plastique est souple et lavable en machine et elle a la fonction de matelas. La véritable structure peut être en bois s’il s’agit d’un meuble à langer ou en plastique dans le cas de tables à langer/bain.

La praticité de la table à langer pour bébé s’unit avec l’exigence de rendre encore plus confortable et colorée sa chambre.

Il ya différents types de tables à langer qui varient par prix, modèle et design:

•Meuble à langer

Le meuble à langer peut être considéré un véritable meuble pour la chambre de votre bébé. Il peut être assorti au lit et au garde-robe: en existent en différents modèles colorés et en bois. Le confort est dans la possibilité de ranger les vêtements et tout le nécessaire pour le change, comme serviettes, couches, talc et crèmes dans les tiroirs en dessous! Quand le bébé grandit vous pouvez l’employer pour ranger ses chaussettes et ses slip dans les tiroirs.

•Meuble à langer/bain

Au-delà du confort d’avoir des tiroirs il y a des meubles à langer qui ont le bassin au dessous du plan à langer. Il suffit d’éliminer le plan engommé et maman et papa ont la possibilité de donner le premier bain à leur bébé dans sa chambre!

•Table à langer/bain

Cette table à langer a une double fonction: table à langer et baignoire au même temps, pour satisfaire chaque nécessité! Il peut être rangé dans la salle de bain si vous avez de l’espace. Généralement la table à langer se transforme en baignoire en éliminant la partie supérieure qui cache un confortable bassin où plonger le nouveau-né!

•Table à langer de voyage

La table à langer de voyage est une excellente solution pour une maman dynamique et toujours prise. Elle peut être pliée et transportée partout facilement. Il y a des modèles qui se transforment en petites valises et sacs. Généralement ces tables à langer sont équipées de beaucoup de poches qui permettent à la maman d’emmener tous les produits nécessaires pour nettoyer et changer le bébé!

Pour chaque nécessité il y a une table à langer qui répond aux exigences des parents, mais la chose la plus importante est la sécurité du produit! Il ne faut jamais sous-évaluer et oublier le facteur sécurité quand on achète par exemple un siège auto pour bébé pour le transporter ou des jouets pour enfants pour le faire jouer!
Des paramètres bien précis, qui établissent des règles pour la sécurité du produit, doivent être suivis aussi pour la vente des tables à langer.

Les normes concernent les matériaux et hauteur/largeur par rapport à la tranche d’âge du bébé. Contrôler qu’une table à langer soit homologuée selon les normatives européennes garantit aux parents la sécurité pendant le change et le bain!
Découvrez les avantages dans l’emploi de la table à langer et identifiez le modèle le plus indiqué à vos exigences et à votre goût!

Changer votre bébé et lui donner le bain peut devenir un moment amusant et de jeu pour tout le monde……c’est vrai mamans?

Grossesse et travail: les droits des mamans

Il y a quelques décennies la femme n’était estimée que pour son rôle d’épouse et de mère.
Dans la société frénétique d’aujourd’hui la femme est aussi travailleuse.
Par conséquence quand la future maman découvre d’attendre un bébé elle doit faire face à toutes une série de problématiques concernantes la gestion du congé maternité et comment le faire concilier avec son travail.

Congé maternité : vos droits

C’est très important que la future maman connaisse ses droits de travailleuse pendant la grossesse et l’allaitement: de cette manière elle peut être sauvegardée.
Selon la loi française une salariée ne peut être licenciée, sauf faute grave ou circonstance indépendante de son état, pendant sa grossesse ou la durée de son congé maternité. La notification d'un licenciement ne peut intervenir pendant cette même période. Et si une grossesse était dûment signalée (par certificat médical) dans les quinze jours suivant une déclaration de licenciement, celle-ci serait annulée. "Visiblement enceinte" selon l'expression consacrée par les textes officiels, une femme peut démissionner sans préavis et sans avoir à payer d'indemnités de rupture brutale du contrat de travail.
Depuis sa création en 1909, le congé maternité est un droit – et non une obligation – dont beaucoup de femmes n’hésitent pas à profiter!
Peu importe l’ancienneté dans l’entreprise, toute salariée enceinte peut bénéficier du congé maternité à condition toutefois d’avoir averti son employeur de la grossesse et de la période d’absence.
Et pourquoi s’en priver? Étant indispensable pour la santé de la mère et de l’enfant, le congé maternité est partiellement pris en charge par l’assurance maternité. Sur 16 semaines indemnisées, la future maman peut toutefois choisir de ne s’arrêter que 8 semaines.
Depuis son aménagement par une loi de février 2007, le congé maternité est assoupli à défaut d’être allongé! En autorisant les femmes enceintes à moduler la répartition de leurs semaines de congé, la loi offre plus de liberté aux femmes dont la grossesse se déroule bien et leur permet de passer davantage de temps avec leur bébé.
La maman a droit à seize semaines de congés minimum : six semaines avant la date présumée de l’accouchement et dix semaines après. En cas de naissances multiples, les congés sont allongés à douze semaines avant l’accouchement et vingt deux semaines après, pour des jumeaux, et à vingt quatre semaines avant l’accouchement et vingt deux semaines après, pour des triplés.
Pour le troisième enfant, votre congé passe à vingt six semaines : huit semaines avant l’accouchement et dix huit semaines après.
En cas de maladie, la durée de votre congé maternité peut être allongée sur prescription médicale: deux semaines avant et/ou quatre semaines après la date présumée de l’accouchement peuvent être accordées.

Bénéficier d'autorisation d'absences

La femme enceinte peut s’absenter de son travail pour se rendre aux examens médicaux obligatoires prévus pendant la grossesse (visites prénatales mensuelles, échographies etc.). Ce temps n’est pas décompté du salaire et il est considéré comme du temps de travail effectif ! La femme enceinte présente alors à son employeur un justificatif de ces examens, établi par le médecin.

Allaitement

Plusieurs dispositions visant à faciliter l’allaitement par les mères qui ont repris le travail figurent dans le code du travail. L’allaitement (dans l’établissement ou ailleurs) est un droit pendant la première année de l’enfant. Les mères ont, pour ce faire, une heure par jour (articles L1225-30 et suivants du Code du travail) pour l’allaitement et le change des couches. Cette heure est « répartie en deux périodes de trente minutes » (article R224-1), une le matin et une l’après-midi.
Attention ! Dans les textes, ces pauses n’étant pas considérées comme du travail effectif, elles ne sont pas rémunérées sauf si votre convention collective, accord de branche ou accord d’entreprise prévoit le contraire.
Un local doit être prévu pour l’allaitement au sein de l’entreprise où pouvoir garder le landau avec le bébé. Il doit satisfaire des conditions de confort plus ou moins importantes selon la taille de l’entreprise.
Par ailleurs, comme la femme enceinte, la femme allaitant peut bénéficier, dans certains postes à risques, d’un aménagement des tâches à accomplir.
En pratique peu utilisés, ces droits sont souvent méconnus par les employeurs, surtout dans les petites entreprises. La négociation risque donc d’être plus ou moins serrée, selon les rapports que vous entretenez avec votre hiérarchie et les acquis sociaux en vigueur au sein de votre entreprise.

Droit à la vie privée

Lors des entretiens ou dans les questionnaires d'embauche, un employeur n'est pas autorisé à interroger une candidate sur son éventuelle grossesse. La jeune femme n'est pas non plus obligée de révéler son état. Il ne pourra pas lui être reproché plus tard d'avoir caché sa grossesse lors de son embauche. En effet, une telle dissimulation ne peut constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement. De plus, lors de la visite médicale d'embauche, le médecin du travail est tenu au secret professionnel. Il ne doit donc pas révéler l'état de grossesse à l'employeur. Il est également interdit à un employeur de mettre fin à une période d'essai pour cause de grossesse.

Aussi le repos est très important

Il est bien possible et sans risques de continuer à travailler pendant la grossesse. Toutefois les changements que le corps subit pendant les 9 mois de gestation imposent aux futures mamans des précautions: faire des pauses fréquentes, ne pas se fatiguer, ne pas rester longtemps debout, ne pas s’exposer à des substances à risque et se rappeler toujours de prendre un bon petit déjeuner chaque matin!

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Choisir ou accoucher

Choisir l’hôpital ou accoucher c’est un choix vraiment important pour lequel il faut bien évaluer plusieurs éléments et prendre en considération différèrent paramétrés, comme par exemple le type d’assistance qu’on souhaite avoir, le type d’accouchement ou souvent la proximité de la structure à la maison, pour éviter les trajets trop laborieux.
Le choix dépend aussi de la personnalité de chaque future maman et surtout des ses exigences, aussi si l’objectif à rejoindre est le même pour tout le monde, c'est-à-dire identifier la structure idéale pour vivre au mieux ce délicat moment. C’est pour cette raison qui nous aimerons vous fournir des conseils à prendre en considération et à ajouter à ceux de votre médecin et votre instinct.

Maternités: le public ou le privé?

La première question qu’une future maman se pose quand elle songe à l’accouchement à venir est de savoir où il aura lieu: dans une maternité publique ou une clinique privée?

Les hôpitaux publics: les conditions de sécurité sont le plus souvent optimales, avec notamment la garantie d’un anesthésiste et d’un obstétricien de garde jour et nuit et donc d’une intervention immédiate en cas de complication, ce qu’il n’est pas garanti dans les cliniques privées.
La prise en charge des frais d’accouchement par la sécurité sociale est en effet totale, même si vous accouchez sous péridurale ou par césarienne. Mais il y a aussi des inconvénients comme l’ambiance qui est un peu impersonnelle :confort relatif, repas médiocres, horaires de visites strictes, séjour le plus court possible.

Les cliniques privées: vous êtes véritablement « accueillie » dans la maternité par une équipe médicale qui va s’occuper de vous. Vous bénéficiez d’une chambre personnelle et confortable, d’infrastructures pensées pour votre bien-être, d’horaires de visites beaucoup plus souples, de repas bien meilleurs que dans un établissement public. Les inconvénients le plus évident, dans ce cas, est que tout ce confort a un prix.
La sécurité sociale et les assurances complémentaires prennent en charge le forfait journalier dans la plupart des établissements conventionnés, mais les dépassements d’honoraires des praticiens et le prix de la chambre individuelle restent à votre charge. L’équipement technique n’est pas toujours aussi optimal que dans les maternités publiques. En cas de complication, le bébé peut ainsi être transféré dans un hôpital public pour recevoir des soins, c’est aussi vrai que dans une clinique privée ils vous permettent d’avoir tout de suite le bébé dans son petit lit à coté de chez vous.

Critères d'évaluations pour mieux choisir

Il convient se renseigner sur les réelles capacités techniques de la clinique pour mieux choisir le moyen d’accouchement:

- le travail actif permet à la maman de choisir la positionne qu’elle plus préfère pendant l’accouchement: il y a des structures ou il est possible accoucher debout, dans l’eau, allongé sur en coté ou encore à quatre pattes. Par contre certaines structures obligent à accoucher dans la classique positionne sur le dos, malgré plusieurs médecins soutiennent que cette positionne ne pas confortable à cause de la gravité, mais elle reste toujours la plus choisie parque ce que en cas de complication permet d’intervenir très rapidement.

- Épisiotomie et ocytocine: l’épisiotomie c’est une incision pratiquée sur la périnée, de l’ouverture du vagin vers l’anus, qui devrait être qu’un geste de dernier recours parce ce qu’elle augmente les risques de déchirures importants. L’ocytocine est utilisé pour provoquer le travail ou augmenter la fréquence et la force des contractions, a son utilité quand le travail ne progresse pas.

- L’anesthésie épidurale: il s’agit d’une injection faite au niveau de la colonne vertébrale pour insensibiliser le bas du corps qui peut être effectuée seulement à la présence de l’anesthésiste. Il y a des structures ou la péridurale est utilisée seulement en cas de nécessité, d’autres hôpitaux ou si vous souhaitez vous pouvez la demander en avance et la programmer directement avec le médecin.

- La césarienne: c’est une intervention chirurgicale et elle comporte donc des risques plus importants qu’un accouchement par voie naturelle. Aussi dans ce cas il y a des structures ou la césarienne est utilisée seulement en cas de nécessité, dans certains hôpitaux vous pouvez la demander en avance et la programmer directement avec le médecin.

- Un autre facteur très important à évaluer pour le choix de la maternité est la présence des médecins spécialisés et des plusieurs services: par exemple il faut s’assurer de la présence d’un service de réanimation néonatale en cas d’urgence et aussi sur la présence d’un néonatalogiste pour la première visite. En effet certaines structures très petites n’ont pas les médecins spécialisés vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

- Facteurs mineurs: il faut aussi se renseigner en avance s’il est possible pratiquer l’allaitement du bébé de la naissance, si le papa peut assister à l’accouchement, les horaires pour les visites, la proximité de la maison, la disponibilité de la chambre ou encore la possibilité de garder l’enfant à coté de la maman dans sa nacelle.

Après avoir évalué tous les facteurs et vous avez encore des soucis, n’hésitez pas à suivre votre instinct et les conseils de votre médecin, et si vous rassure vous pouvez demandez de visiter la salle de travail de la structure qui vous intéresse le plus, peut être qu’il ne vaut la peine!

Anesthésie péridurale: êtes-vous pour ou contre?

Chaque femme en douce attente a une seule idée en tête : être parfaitement prête pour accueillir le bébé! C’est pour cette raison qu’elle aura beaucoup de choses à faire, comme par exemple meubler la petite chambre ou acheter le nécessaire pour lui assurer le maximum de sécurité, confort et bien-être comme par exemple les couches, poussette bebe, landau, accessoire pour le bain, babyphone, et beaucoup d’autres choses.

Au-delà des touts les préparatifs, il arrive aussi le moment, pour toutes les futures mamans de se poser des questions sur l’accouchement et la douleur qui on épreuve pendant ce moment. En effet accoucher sans souffrance c’est le rêve de chaque maman ! C’est pour cette raison que beaucoup des femmes choisissent l’accouchement avec l’anesthésie péridurale que selon les médecins est sûre et efficace et permette de diminuer ou supprimer la sensation de douleur liée aux contactions.

Qu’est-ce c’est l’anesthésie péridurale?

L’anesthésie péridurale c’est l’administration, par injection, d’un anesthésiant similaire à la morphine, qui insensibilise de la taille aux pieds : la femme s’allonge sur le côté ou s’assoit sur le rebord du lit et le médecin anesthésiste pratique une injection dans la région lombaire à l’aide d’une anesthésie locale et il place une aguille entre la 3ème et 4ème vertèbre lombaire. Il est important de préciser qu’il ne faut pas avoir peur de rester paralysée après une péridurale car l’injection est effectuée autour de la moelle et non pas à l’intérieur de la moelle même.
Un petit cathéter est introduit dans la colonne vertébrale en dessous de la moelle épinière et injecte un produit qui va rentrer en contact avec les nerfs qui innervent le petit bassin; les nerfs vont être anesthésiés et la mère verra ses douleurs diminuer sensiblement. L’effet du produit commence a se ressentir au bout de 10 minutes et les douleurs disparaissent entre 20 et 30 minutes après permettant d’insensibiliser la partie basse du corps.

Les effets sur le bébé

Certaines courants de pensée soutiennent que l’accouchement avec la péridurale est plus sûr de l’accouchement avec la méthode traditionnel, en effet:

- si le travail est compliqué et il prend plus de temps, il peut se vérifier une réaction tellement stressante de compromettre le bien être du bébé
- en cas des complications et d’une éventuel césarienne d’urgence, on perd pas du temps précieux parce ce que la future maman est déjà anesthésiée et donc prête pour intervention
- la péridurale raccourci le temps de la phase de dilatation de manière que le travail est plus rapide
- le corps relâché de la maman pendant l’accouchement, apporte plus d’oxygène au bébé pendant le travail

Pour ce qui concerne la phase d’expulsion de l’accouchement il y a différentes avis sur la durée de l’accouchement : selon certaines spécialistes le péridurale prolonge le travail, particulièrement au moment de la poussée parce ce que la femme ne sente pas la douleur et donc elle a moins esprit de collaboration ; par contre d’autres spécialistes soutiennent qui un médecin expert peut rendre plus vite ce moment. Il est très important à savoir que plusieurs recherches ont montré que la péridurale a un impact sur les nouveau-nés : bébés moins éveillés, moins toniques et ayant moins d’interactions avec leur mère et l’épidurale peut notamment affecter la mise au sein pendant plusieurs jours et de fois aussi pendant le premier mois d’allaitement.

Les effets sur la maman

L’anesthésie péridurale est pratiquée en cours d’accouchement pour toutes les mamans qui désirent éviter d’enfanter dans la douleur, en effet cette méthode aide la maman à ne pas contracter les muscles et donc à vivre ce moment avec relaxation.

L’anesthésie péridurale comporte certaines complications très rares qu’il faut néanmoins connaitre : sensations des fourmillements, des tremblements et de chaleur dans les jambes, sans caractère de gravité. En plus la maman est obligée à avoir un cathéter pour l’urine et elle ne peut pas se lever tout de suite du lit. Il arrive aussi de fois que l’épidurale peut ne pas être efficace et il faut faire une deuxième injection.

Mamans : il faut s’informer!

La péridurale est très diffusée en France (60-70%), en Angleterre, aux Etat Unit et au Canada (80%), par contre en Italie seulement le 8% demande d’accoucher avec cette méthode à cause de la pénurie des services vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans les hôpitaux et aussi à cause des conditionnements sur les effets négatifs de l’épidurale. La péridurale, en effet, procure des avantages possibles mais également des risques significatifs pour la mère et son bébé. Ces risques sont bien documentés dans la littérature médicale mais ne sont pas nécessairement expliqués à la femme en travail. Les femmes qui désirent éviter l’usage de la péridurale seront bien avisées de choisir des intervenants et des modèles de pratique qui favorisent, soutiennent et comprennent les principes et la pratique de l’accouchement naturel respecté.

Comment protéger les enfants contre le soleil

La lumière du soleil a sans doute des effets bienfaisants sur l’organisme, en effet elle favorise la formation de la vitamine D, nécessaire pour le développement du système squelettique, en stimulant le métabolisme, en renforçant le système immunitaire et en améliorant l’humeur. Toutefois une exposition excessive ou imprudente peut causer des dommages aussi très sérieux, surtout si la peau est délicate comme celle des enfants. La peau d’un bébé est en effet plus mince que celle d’un adulte et donc elle est facilement pénétrable par les rayons solaires. En plus elle ne possède pas les récepteurs qui permettent de ressentir la sensation de chaleur et ses cellules défensives ne sont pas encore capables de fonctionner parfaitement.
Il est donc nécessaire de suivre des règles pour éviter que la peau délicate des enfants puisse subir des dommages. Il a été bien démontré que des dommages à la peau peuvent se manifester aussi après beaucoup d’années d’expositions au soleil.

Voilà des simple règles à suivre pour protéger les enfants contre les effets négatifs des rayons solaires.

Éviter l’exposition directe

N’exposer jamais les enfants au soleil directe, surtout s’ils sont très petits. Avant 6 mois de vie la peau des bébés ne doit jamais être exposée aux rayons solaires, c’est possible après 6 mois avec modération. Il faut absolument éviter les heures les plus chaudes (de 11 heures à 16 heures d’été), pendant lesquelles la peau des bébés n’est même pas protégée sous le parasol, où elle est soumise aux rayons solaires par l’eau et la sable. Il est nécessaire d’attendre 4 heures de l’après-midi et il faut quand même prendre différentes précautions pour le bain et les jeux sur la plage. La peau du petit doit être protégée avec des vêtements amples et légers en coton, les yeux doivent être protégés avec des lunettes à norme CE et la tête couverte avec chapeau léger. Les enfants ne doivent jamais rester longtemps sous le soleil, aussi pendant les heures les plus chaudes.

Employer hautes protections solaires

Une crème à haute protection solaire doit être étalée sur la peau des bébés. Il y a en commerce différentes crèmes solaires pour bébés , mais le meilleur choix est la crème avec la protection la plus haute. Quand même il ne faut jamais étaler au bébé de crème avec un filtre solaire inferieur à 15, même s’il est déjà bronzé ou s’il a le teint très foncé. Même si la crème est résistante à l’eau et la sueur, il est nécessaire de redoubler l’application différentes fois par jour et chaque fois que le bébé va se baigner. Une fois à la maison, après le bain il est bien conseillé d’étaler de copieux après-soleil et crème hydratante.

La bonne alimentation

Il faut adopter une alimentation légère, riche en liquides et sels minéraux pour éviter des dommages que le soleil peut causer à l’organisme. Donc il est important de choisir des aliments peu gras comme céréales, yaourt, laitages frais (mozzarella,ricotta,ecc..), pommes de terre, œufs, poisson maigre, fruit et légumes. Il faut se rappeler de faire boire beaucoup les enfants parce qu’ils risquent de se déshydrater en "s’oubliant" d’avoir soif. Si votre bébé boit encore du biberon vous devez vous rappeler de le remplir souvent, par contre s’il est plus grand il sera nécessaire de lui rappeler de siroter souvent un peu d’eau.

Faire attention au soleil dans la ville

Souvent on oublie que le soleil potentiellement dangereux n’est pas seulement celui de la plage.
Il faut faire attention aux rayons ultra-violets aussi quand le bébé joue dans le parc, quand il se balance sur les balancelles, sur la poussette et en général en plein air. Il faut éviter de l’exposer au soleil pendant les heures les plus chaudes et il faut se rappeler de l’habiller adéquatement. Si la chaleur est trop forte et le soleil est particulièrement brûlant, il est bien conseillé d’étaler au petit de la crème solaire aussi dans la ville. Attention aussi aux voyages en voiture, parce que le siège auto pourrait être rejoint des rayons solaires en obligeant le bébé à une exposition prolongée.