vendredi 29 mai 2009

Bonding et attachement du bébé

Le bonding (de l’anglais "bond" qui veut dire "se rapprocher") est le processus d’attachement entre le bébé et ses parents. Il s’agit d’un phénomène qui se manifeste juste après la naissance, quand le bébé et les parents sont en mesure de se connaître et donc de développer un "attachement".

Le besoin d’attachement post-partum est un besoin physiologique, dû à l’énorme quantité d’hormones qui se développent juste après l’accouchement. En particulier les hormones qui entrent en jeu sont:

• Ocytocine qui se développe considérablement trente minutes après la naissance, quand maman et bébé s’échangent les premiers regards. Cette hormone, appelée aussi "hormone de l’amour" unit la maman à son bébé, en créant une symbiose entre les deux;
• Adrénaline maternelle est l’hormone qui permet à la maman de se bien rappeler le moment de l’accouchement et d’être attentive à tous les signaux du nouveau-né;
• Adrénaline foetale permet aux stimulations, que le bébé reçoit après sa naissance, de rester gravées dans sa mémoire;
• Endorphines permettent à la maman de se rappeler positivement l’expérience de l’accouchement;
• Prolactine permet la fabrication du lait et elle favorise aussi le développement de l’instinct maternel de protection.

Plusieurs spécialistes ont étudié le développement du bonding dans les êtres humains et pendant le temps on a bien démontré qu’il est possible de favoriser et d’empêcher ce phénomène.
Le bonding dépend de différentes variables sur lesquelles il est possible d’agir (les caractéristiques des parents, le type d’accouchement, l’état de santé du bébé et de la maman, ecc....), mais il existe aussi des comportements qui favorisent l’attachement entre parents et enfants, comme le contact direct entre les deux, surtout pendant les moments successifs à la naissance.

Le toucher est le premier sens que l’enfant développe dans l’utérus. 90 minutes après l’accouchement le nouveau-né est dans la mesure de percevoir tout ce qui l’entoure surtout par le toucher. Dans les deux heures successives à l’accouchement, il est bien recommandé de favoriser le contact peau-à- peau du bébé avec la maman.
Par contre le contact direct post- partum peut être empêché par les conditions de santé de la maman et du bébé et par la nécessité d’effectuer des contrôles urgents. Il peut arriver que les bébés sont installés dans des berceaux thermiques et soignés par médecins et infirmières ou encore la maman ne peut pas être dans la mesure d’accueillir le bébé dans ses bras. Dans ce dernier cas il est préférable de donner le bébé au papa, pour lequel le contact direct au moment de la naissance est très important, parce qu’il s’agit du premier contact avec son enfant.
Différents études ont demontré que si les parents restent tous seuls avec leur enfant après la naissance, il se calme et il arrête plus rapidement de pleurer. Un autre sens très important est l’odorat, qui maman et bébé emploient pour se reconnaître. Le premier lait (le colostrum) a presque le même odorat du liquide amniotique et donc le nouveau-né le reconnaît et il se sent protégé comme dans l’utérus.
L’allaitement juste après l’accouchement est très important pour le bonding. L’allaitement augmente aussi les défenses immunitaires du bébé et il favorit l’augmentation de la quantité d’ocytocine et prolactine dans la maman.
Le nouveau-né emploie aussi la vue pour percevoir ce qui l’entoure, même si moins par rapport aux autres sens. Les yeux du nouveau-né peuvent mettre au point dans une distance qui varie entre 17 et 30 cm et qui lui permet d’identifier le visage du parent qui le serre dans ses bras. Le bébé est attiré particulièrement par les choses rondes et foncées, comme les yeux de la maman et du papa.
Aussi l’ouïe a une grande importance dans le développement du bonding. En effet le bébé apprend facilement à reconnaître la voix de la maman et à son tour il cherche à attirer son attention en émettant des sons ou en pleurant.

Différents spécialistes ont étudié le développement du bonding dans les animaux et ils ont relevé que si le petit est éloigné de la maman au moment de la naissance et si successivement il est réuni à la maman, elle le refusera. Évidemment pour les êtres humains ça ne marche pas dans la même manière. Quand même le processus d’attachement et le développement des liens affectifs peuvent se vérifier aussi successivement, sans aucune conséquence sur le rapport parents-enfants, malgré l’importance de ce phénomène. Il y auront d’autres occasions pour bercer le bébé, pour le transporter avec la poussette, l’allaiter, le câliner et vivre ensemble beaucoup de moments d’interaction, comme le bain, la bouillie ou le change des couches.

Et vous? Vous avez vécu des moments de contact post-partum ou vous avez développé successivement l’attachement à votre enfant? Nous sommes curieux de connaître vos expériences!

jeudi 28 mai 2009

Le massage pendant la grossesse


L’art du massage naît avec la vie et il est le moyen le plus ancien, naturel et instinctif pour soulager l’esprit et le corps. En effet il suffit de penser au bénéfice d’une simple caresse.
Le massage prénatal à été utilisé, dans chaque culture et époque, comme support pendant la grossesse et l’accouchement : en effet il s’agit d’une forme de communication entre la maman et le bébé pendant les 9 mois d’attente de l’heureux événement.
Pendant la grossesse chaque maman massage inconsciemment le bébé et elle aussi se laisse caresser par les mouvements que surviennent dans le ventre.

L’importance du massage pendant la grossesse et ses bénéfices

Le massage prénatal est un massage thérapeutique, centré sur les besoins spécifiques de la future mère. Pendant la grossesse, le rapport au corps est fondamental et il est important que les sensations corporelles s'accompagnent de bien-être. Le massage pendant la grossesse est un traitement naturel, de contact visant à alléger les désagréments et d'autres symptômes liés à la grossesse. La thérapie du massage stimule la fonction des muscles et des articulations, améliore la circulation et la santé générale du corps et soulage la fatigue mentale et physique.

- curatif : il est conseillé en cas de douleurs, lombalgia, crampes ou troubles de la circulation aux arts inférieurs. Le poids du bébé dans le ventre est souvent la cause de douleurs au dos, pesanteur des arts inférieurs et varices. Dans ce cas le massage améliore la circulation, il aide à tonifier le corps et aussi à préparer les muscles pour l’accouchement.

- anti-stress : Il éloigne le stress de la grossesse en manière naturelle. Le massage pour la future maman procure un moment de détente précieux, en réduisant l'anxiété souvent présente dans cette période de la vie d'une femme : le toucher favorise l'apprivoisement et l'acceptation des nombreux changements corporels

- bien-être physique et psychique : il est possible pour la maman, avec l’aide du partenaire, de créer un contact émotif et énergique avec son bébé. De cette manière le bébé se sentira bercé par les parents, en établissant une relation équilibrée avant l’accouchement

En plus en sachant du fait que le massage pendant la grossesse est naturellement agréable, il y a beaucoup d'autres avantages pour la future maman et son bébé. Le contact est essentiel pour le bien-être physique et émotif de la mère car elle s'adapte à la nouvelle image de son corps : en effet le corps d'une femme enceinte change et il est mis à rude épreuve de bon nombre de façons différentes. Le massage donne une attention toute particulière à la future mère, qui à son tour consolide la nouvelle vie qui se développe en elle.

Indications pour le massage prénatal

Les médecins déconseillent les massages au cours du premier trimestre, en raison des changements physiques et hormonaux très importants qui se produisent chez la femme enceinte.

Le massage prénatal ne se pratique qu'à partir du quatrième mois de grossesse et jamais au dernier mois : la premier trimestre est la période pendant laquelle le foetus se stabilise et c'est plutôt le moment pour la mère de s'habituer au fait d'être enceinte et d'en profiter. Le deuxième et troisième trimestre sont des périodes merveilleuses pour commencer le massage prénatal.
Le massage peut être exécuté n'importe où, de 10 minutes à une heure, en fonction du temps dont vous disposez et du désagrément que vous éprouvez, à raison d'une fois par semaine pendant le deuxième trimestre, et deux fois par semaine ou plus, pendant le troisième trimestre : il est mieux de l’accompagner d’une musique apaisante qui peut favoriser la relaxation.
Après l’accouchement on conseille d’attendre 40 jours avant de se faire masser, de manière que les blessures à l’utérus soient bien cicatrisées.

Contre-indications

Le massage pendant la grossesse est généralement sûr pour la plupart des femmes, mais avant de procéder à tout type de massage est nécessaire l'approbation de votre médecin.

Voici les cas pour lesquels le massage ne devrait pas être pratiqué:
- perte importante (aqueuse ou sanguine)
- diabète
- maladie contagieuse
- fièvre
- vomissement
- douleur non habituelle
- pré-éclampsie (hypertension artérielle, protéinurie, prise de poids, oedèmes)
- hypertension
- nausées matinales
- douleur abdominale
- diarrhée
- tout état maladif.

Les zones du corps qui ne doivent pas être massées sont:
- éruptions cutanées, blessures ouvertes, ecchymoses
- inflammations
- varices (dilatées et plus ou moins saillantes)
- zones locales d'infection

vendredi 22 mai 2009

Rooming-in

Souvent, après la naissance la maman est séparée de son bébé, en ne pas considérant que plus le bébé passera le temps avec la maman, plus il pourra bénéficier des interactions, qui l’influenceront successivement.
En effet, un contact précoce entre maman et bébé, influencera positivement le rapport maman-nouveau-né, le processus d’affection, le succès de l’allaitement au sein et surtout il augmentera la capacité de faire face à des situations stressantes.
En outre la maman permettra avec ses bactéries une colonisation bactérienne utile à l’enfant pour se défendre d’éventuelles maladies.

Qu’est-ce que c’est le Rooming-in?

Le Rooming-in permet à la mère et à l’enfant de rester ensemble jour et nuit après l’accouchement à l’intérieur de la même chambre, à partir du moment où la mère est capable de répondre aux exigences de son enfant.
Évidemment la mère est séparée de son bébé seulement pendant les moments strictement nécessaires aux procédures d’assistance de la part du personnel soignant, qui a l’importante tâche de ne pas être trop envahissant et de permettre à l’enfant et à la maman d’exprimer leurs états d’âme, pour faire face ensemble à leurs moments d’intimité après l’accouchement.

C’est très important que la mère soit aidée, toujours avec discrétion, par le personnel soignant, surtout dans les cas où les conditions personnelles et/ou cliniques de la maman et du bébé ne permettent pas un gestion autonome de l’enfant.
Selon une signification plus étendue du mot "Rooming-in", à l’intérieur de la même chambre il est possible de faire entrer aussi le papa et d’autres membres de la famille, qui peuvent soigner le nouveau-né quand la maman n’est pas disponible.

Aspects positifs

Le Rooming-in donne suite à la symbiose durée 9 mois, très importante pour l’enfant et la maman qui ont besoin d’entrer en contact tout de suite et longtemps.
En outre soigner le bébé veut dire familiariser avec ses petits problèmes quotidiens (succion, allaitement, change couche, etc..) et les résoudre plus facilement, aussi grâce au personnel soignant qui répond aux exigences de la maman même.

Le Rooming-in permet aussi à la maman de détecter précocement les symptômes typiques des troubles de l’adaptation néonatale et des signals d’alarme de pathologies éventuelles: de cette manière, en effet, il serait possible d’intervenir tout de suite.

En plus, le Rooming-in est conseillé comme modèle d’organisation parce qu’il favorise l’allaitement au sein, en considérant que les tétées sous demande de l’enfant sont les plus favorites. De cette manière on réduit l’emploi de liquides différents du lait maternel et on favorise un lien plus profond entre la maman et le nouveau-né.

Combien de temps doit durer le Rooming-in?

Chaque maman est libre de choisir si pratiquer le Rooming-in et pour combien de temps; en effet il n’y a pas des règles, ni d’impositions de la part du personnel soignant.
Il est scientifiquement prouvé que le contact entre maman et bébé aidera le nouveau-né à ne pas être confondu par des stimulations sensorielles différentes: en effet chaque enfant a un odorat très développé déjà à la naissance (il reconnaît l’odeur de la maman et du lait maternel) mais par contre il a un champ visuel réduit à 20/30 centimètres, c’est-à-dire la distance entre les yeux de la maman et de l’enfant quand il prend le sein.

La "nurserie ouverte": une alternative valable

Une bonne alternative au Rooming-in est la nurserie ouverte: les chambres de la nurserie sont accessibles aux mamans et aux papas toujours, en dévenant le lieu idéal pour un contact prolongé entre parents et nouveau-né.
La nurserie ouverte permet d’acquérir l’expérience dans la gestion du nouveau-né (hygiène, pansement du cordon ombilical, allaitement) avec l’aide de l’équipe soignante. Cette alternative a l’avantage de permettre à la maman de se dédier, quand elle le souhaite, au repos et à sa famille.

jeudi 21 mai 2009

Les maladies exanthématiques du bébé

Les maladies exanthématiques sont des maladies infectieuses qui se manifestent par des éruptions cutanées ou d’autres symptômes comme la toux, la fièvre ou le mal de gorge. Il s’agit de maladies contagieuses et qui frappent tous ceux qui ont le système immunitaire pas encore totalement opérationnel, c’est-à-dire les enfants. La contagion par voie aérienne des maladies exanthématiques se répand surtout ou il y a une concentration d’enfants, comme par exemple à l’école. Normalement les maladies exanthématiques du bébé ne sont pas dangereuses et elles peuvent être facilement soignées, par contre elles deviennent paradoxalement dangereuses si on les contracte pendant l’âge adulte parce ce que des complications peuvent survenir.
Les maladies exanthématiques du bébé les plus diffusées sont la rougeole, la varicelle, la scarlatine et la rubéole. Pour certaines de ces maladies, comme par exemple la rougeole, il est possible de protéger le bébé de la contagion par un vaccin spécifique.

La rougeole

La rougeole est la fièvre éruptive liée à un paramyxovirus. La contamination s'effectue par la propulsion des gouttelettes de salives des sujets infectés. Le malade est contagieux quatre jours avant l'éruption. Le virus disparaît du sang 4 jours après le début de l'éruption. L'incubation est d'environ 10 jours après la contagion. L'invasion dure 4 jours avec fièvre élevée, conjonctivite, oedème des paupières, yeux bouffis, écoulement nasal, toux, diarrhée, douleurs abdominales, anorexie, vomissements etc. L’éruption rougeoleuse est typique : petites plaques rouges plus ou moins en relief de quelques millimètres de diamètre qui confluent en larges plages. L'éruption débute sur le visage derrière les oreilles et s'étend progressivement. Au 2ième jour, elle atteint tout le visage, le cou, la partie supérieure du thorax. Le 3ième jour, le tronc et les membres supérieurs sont atteints. Les membres inférieurs sont touchés le 4ieme jour. Lorsque l'éruption s'efface, elle fait place à une desquamation fine visible quelques jours et la fièvre disparaît sauf en cas de complications. Le traitement curatif de cette maladie exanthématique n’est pas spécifique : le plus souvent, on donnera au patient de quoi soulager les différents symptômes, comme la toux, les démangeaisons ou la fièvre et on se recommande de bien garder le bébé au lit. Il existe à ce jour le vaccin contre la rougeole qui peut être administré aussi au nouveaux-né.

La varicelle

La varicelle est une maladie infantile, très commune, très contagieuse, la plupart du temps bénigne. Elle est due à un herpès virus. La transmission du virus se fait par contact direct ou par aérosol : toux, éternuements, air expirée sous toutes ses formes.
L'incubation de la maladie dure d’une à deux semaines, c’est-à-dire l’intervalle de temps entre la contamination et les premiers symptômes.
Les boutons ou vésicules qui apparaissent sur la peau sont contaminants jusqu’au moment où ils sèchent et cèdent la place à des croûtes. À ce dernier stade, ils ne sont plus contaminants.
Une personne infectée par le virus de la varicelle est contagieuse d’un jour avant l’éruption jusqu'à environ une semaine après l'apparition des vésicules. L'immunité acquise après une varicelle est définitive et protège contre toute nouvelle contamination par ce virus, mais elle n’empêche pas la résurgence de ce virus sous forme de zona.
Les premiers signes de la varicelle peuvent être discrets (petite fièvre, toux, rhume) ou se présenter directement sous forme d’une ou deux vésicules sans autre signe accompagnateur.
Le traitement par lui-même se résume à soulager les démangeaisons quand elles existent et éviter les surinfections.
Contre les démangeaisons, des antihistaminiques sont généralement prescrits. Les mesures d'hygiène sont aussi très importantes, elles consistent en un nettoyage antiseptique pluriquotidien des boutons et des ongles. st suffisant. Si l’on doit laver l’enfant, on veillera à bien sécher tous les boutons.
Aussi dans ce cas il existe un vaccin, mais seulement à partir de 12 mois.

La scarlatine


C’est une affection de l'enfant de plus de 3 ans et de moins de 12 ans, elle est due à la toxine d'une bactérie : le streptocoque A ou C.
L'incubation est de 3 à 5 jours. La contagion se fait par les gouttelettes de salive émises lors de la parole par exemple.

Elle se manifeste par une angine rouge avec déglutition difficile, une fièvre (le thermomètre peut toucher 40°), des frissons, des adénopathies cervicales, des maux de tête, parfois avec des douleurs abdominales et des vomissements.
Cette maladie exanthématique est surtout caractérisée par une éruption sur la peau survenant 2 ou 3 jours après le début de l'angine, débutant par le thorax, plus marquée au niveau des plis (aine, coudes), s'étendant à tout le corps sauf autour de la bouche ; la peau est rouge, cuisante, granité au toucher. Vers le 7iéme jour la peau desquame en fines écailles, la langue devient rouge. Le repos au lit est de 15 jours, il est licite de traiter l'entourage préventivement.

La rubéole

La rubéole est une maladie virale qui n'est grave que dans le moment où elle affecte des femmes enceintes. Elle est due à un virus de la famille des rubivirus.
L'homme en est le seul réservoir naturel. Les personnes touchées sont contagieuses une semaine avant et une semaine après l’éruption. La contagion se fait par voie aérienne ou par voie transplacentaire pour l’embryon. Dans la majorité des cas, cette affection, passe inaperçue.
On parle de rubéole congénitale, en cas des femmes enceintes, quand le virus va toucher l’embryon: Jusqu’à la 20ième semaine de grossesse, toute infection de la mère par le virus de la rubéole peut contaminer l’embryon. Le résultat de cette contamination sera soit une mort de l’embryon et donc un avortement spontané, soit des malformations multiples (cœur, cerveau et annexes : vue et ouïe.
Le seul traitement efficace est la vaccination. Elle doit être faite chez tout le monde, avant d’être en âge de procréer. En cas d’absence d’immunité contre la rubéole chez une femme en âge d’avoir des enfants, il est important de vacciner.

Ils existent d’autres maladies exanthématiques du bébé comme la « scarlattinetta » (appelée aussi 4ième maladie) mégalo érythème infectieuse (appelée aussi 5ième maladie) et exanthème critique (appelée aussi 5ième maladie).
Les maladies exanthématiques sont très diffusées surtout entre les enfants et elles correctement ne donnent pas des problèmes permanents si soignées correctement. Dans ce cas il faut absolument consulter tout de suite le pédiatre.

N’hésitez pas à nous raconter vos expériences, elles seront utiles à toutes les mamans qui visitent notre Blog !!!

mardi 19 mai 2009

Que faire lorsque votre enfant ne mange pas?

Après une année de vie beaucoup d’enfants commencent à refuser les aliments en donnant du souci aux parents qui se dépêchent tout de suite chez le pédiatre ou d’autres spécialistes en questions psychopédagogiques pour se faire aider.

Les mamans se préoccupent quand leurs enfants commencent à refuser la bouillie en transformant le déjeuner et le dîner en véritables batailles, surtout si jusqu’à ce moment-là ils ont mangé sans problèmes, en dépassant le sevrage sans traumatismes et en appréciant les aliments.

Pourquoi votre enfant ne mange pas?

Pendant la première année de vie, chaque enfant triple son poids dès la naissance: il s’agit d’un rythme qui ne se répétera plus pendant le reste de sa vie. C’est normal que pour satisfaire ces besoins en calories, votre bébé mange toujours avec appétit, en refusant rarement la bouillie ou le biberon.
À partir d’un an, la croissance est plus constante et donc ses besoins en calories subissent une grande diminution et en conséquence aussi la quantité des aliments dont votre bébé a besoin diminuent; c’est pour cette raison que le bébé commencera à manger moins et la maman se préoccupera pour sa santé n’étant pas préparée à ce changement.

En plus le refus de la nourriture représente une problématique qui peut aller au delà du simple changement du rythme de croissance du bébé; en effet il peut dépendre aussi de l’âge du bébé, de son caractère ou son état émotif.
L’alimentation de l’enfant est en effet l’expression de l’émotion et des vécus qui caractérisent le rapport parent-fils; cela signifie que souvent la cause de l’inappétence est le désir de la part du bébé de communiquer une malaise à laquelle les adultes doivent répondre adéquatement.

En effet l’alimentation du bébé commence juste après sa naissance avec l’allaitement qui a une valeur particulière: pendant ses premiers mois de vie le nourrisson s’habitue au lait de sa maman qui le serre dans ses bras où il se sent protégé.
Le manque de ce rapport directe peut donner à l’acceptation ou au refus de la bouillie une valeur psychologique importante.
Le moment du repas doit être joyeux et agréable comme la tétée au sein: donc il serait mieux de créer le même climat de confiance et de sérénité en évitant de commettre ces petites erreurs qui à la longue risquent de provoquer une certaine tension chaque fois qu’on se met à table.

Le refus de la nourriture peut dériver aussi de l’adoption de mauvaises attitudes de la part de maman et du papa et donc du risque de transmettre des émotions et d’états d’âme qui peuvent troubler le bébé.
Le moment de la bouillie n’est pas seulement orienté à la nutrition, mais c’est aussi un moment pendant lequel le bébé se nourrit des émotions que ses parents lui transmettent en se créant de cette manière un moment d’échange affectif entre maman et enfant.
La maman se sent rassurée et elle voit confirmé son rôle en voyant son enfant qui mange tout ce qu’elle a préparé avec amour. Par contre on risque de cette manière de donner une valeur excessive au moment du repas. En effet, en sachant que les enfants communiquent à travers les aliments leurs états d’âme, il est est très facile qu’ils refusent les aliments pour manifester leur malaise pour une attitude erronée.
Les bébés perçoivent très bien l’anxiété de la mère, liée au repas ou à d’autres situations quotidiennes et ils peuvent être si troublés et irrités au point de ne pas vouloir se mettre à table pour chercher à éviter cette tension!

La meilleure solution serait que la maman apprenne à reconnaître et à respecter òes refus de son bébé. De plus elle doit distinguer ses besoins des nécessités de son enfant et surtout à comprendre qu’il a des goûts comme tout le monde.

Des conseils pratiques

- préparez des plats naturels, mieux si faits maison, si le temps à disposition et les ingrédients disponibles vous le permettent: une bouillie "maison" est un geste d’amour!
- dans la première période il faut éviter toute contrainte: en effet si votre bébé ne veut pas manger, n’insistez pas, parce que ça signifie qu’il a du mal à accepter les nouveautés. Ce n’est pas absolument nécessaire que le sevrage commence au sixième mois et un retard ne comportera pas des problèmes ou des carences nutritionnelles.
- pendant le sevrage il faut respecter les véritables exigences du bébé, en exauçant ses signals de faim, sa satiété et ses goûts; en effet l’imposition pourrait donner le résultat contraire ou lui donner la conviction qu’il obtiendra votre approbation seulement en mangeant.
- faites asseoir votre bébé dans une position confortable pour qu’il ait les aliments à portée de main
- cherchez à l’habituer à une alimentation variée même s’il ne l’apprecie pas; dans cette tranche d’âge la plupart les enfants sont routiniers et ils veulent manger pour des longues périodes toujours le même plat pour le quitter soudainement, en prétendant le plat qu’ils avaient refusé jusqu’au jour avant
- le moment du repas devrait être un moment important d’union de la famille et donc il est préférable de s’asseoir à la table tous ensemble. Nous vous conseillons de lui proposer aussi votre nourriture, en lui permettant de la manipuler et d’y jouer.

jeudi 14 mai 2009

Les jumeaux : les difficultés avant et après l’accouchement


Grossesse et accouchement gémellaire

Avoir des jumeaux c’est une belle aventure, mais une grande aventure quand même ! Et avant leur arrivée, comment ça se passe ? Jumeaux, grossesse gémellaire et accouchement : le programme est déjà bien chargé avant même de commencer...Et là, deux sentiments vous envahissent : la joie de savoir que vous allez donner naissance à deux pouces d’un coup et d’un autre côté, l’angoisse car une fois à la maison, il faudra s’organiser pour éviter les moments de panique !

Grossesse à risque : toujours sous surveillance !


Attendre des jumeaux signifie rentrer inévitablement dans les grossesses à risque, aussi s’il se passe dans les meilleurs conditions. Mais pas de panique, sachez qu’une grossesse gémellaire, si elle est bien suivie, a toutes les chances de se développer aussi bien qu’une grossesse normale. Une chose fondamentale est que votre gynécologue renforcera sa surveillance pour déceler très rapidement les problèmes inhérents à une grossesse gémellaire ou multiple.

Ils faut programmer une série d’examens et un nombre plus important d’échographies pour contrôler la croissance des bébés et pour vérifier leur positionnement. Les risques d’accouchement prématuré et des malaises (nausées, digestion difficile, mal au dos, jambes lourdes, essoufflement) sont relativement élevés, donc vous devez vous reposer le plus possible et vous serez mise systématiquement au repos même si rien ne laisse présager une telle issue.
Pour votre bien-être et celui des fœtus est aussi vraiment important gérer votre nourriture, en effet l’alimentation est une grande question pendant votre grossesse. Avec deux bébés, votre estomac va crier famine en continu ! À vous de manger quatre repas équilibrés par jour sans doubler vos rations. Le grignotage est bien entendu à éviter pour ne pas avoir de mauvaises surprises pendant et après l’accouchement. Successivement votre médecin vous conseillera d’augmenter l’apport calorique, en vous demandant également d’avoir une alimentation riche en protéines.

Si vous êtes une sportive et si vous ne l’êtes pas d’ailleurs, privilégiez la marche et la natation ! Une alimentation équilibrée, beaucoup de repos et une activité sportive adaptée : rien de tel pour donner deux beaux bébés !

Les facteurs d’une grossesse gémellaire

Mais comment est-il possible d’attendre deux bébés au même temps? D’après les scientifiques, les facteurs explicatifs sont multiples : enfin, tout dépend s’il s’agit de vrais ou faux jumeaux.
Pour les vrais jumeaux (issus d’un seul œuf divisé en 2) le mystère reste entier. La proportion de jumeaux monozygotes reste stable: 3 naissances sur 1000 enfants et il semblerait qu’avoir un enfant très tôt (avant 18 ans) ou très tard (après 40) soit un facteur de risque… ou de chance, à vous de voir !

S’il s’agit de dizygotes, on a plus d’explications. Les « faux jumeaux » sont le résultat de deux œufs fécondés par deux spermatozoïdes et aussi dans ce cas l’âge de la mère compte : à 20 ans, on a naturellement 5,8 chances sur 1000 d’avoir des jumeaux, contre 13 sur 1000 après 35 ans.!
Autre facteur : les stimulations ovariennes et autres procréations médicalement assistées. Quand on stimule par un médicament sa production d’ovules, une femme a forcement plus de probabilité (25% précisément) d’avoir 2 ovules fécondés au même temps ! Et dans le cas d’une fécondation in vitro, on sait que plusieurs œufs fécondés sont réintroduits, avec des jumeaux voire des triplés à la clé ! Néanmoins, la pluspart des naissances triples s’est stabilisée pendant ces dernières années, avec la diminution du nombre d’embryons implantés, ainsi qu’avec la réduction embryonnaire proposée aux parents.

Par rapport au facteur héréditaire pour les grossesses gémellaires, il existe bel et bien. Mais il se transmet seulement par les femmes, puisqu’il s’agit d’une prédisposition à émettre plusieurs ovules qui pourraient être fécondés au même temps.

Allaiter des jumeaux

Donner le sein à des jumeaux, est possible. Et il est particulièrement souhaitable pour des bébés qui sont souvent plus fragiles. Mais réussir le double allaitement exige une volonté et une organisation en béton.
Quand il arrive le moment d’allaiter le bébé les mamans craignent de ne pas avoir assez de lait…surtout quand il s’agit de jumeaux !! Pas de soucis : plus les bébés téteront, plus vous aurez du lait. Si les bébés, trop faibles, ont du mal à prendre le sein ou si vous êtes trop fatiguée vous pouvez tirer le lait et le papa peut vous aider en donnant quelques tétées. Astuce : mettre les deux bébés au sein le moins douloureux, et tirer votre lait de l'autre. Le sein doublement sollicité se remplira dans la demi-heure suivante la tétée de l'un pour nourrir l'autre. Si malgré tout ça vous n'y arrivez pas, vous pouvez choisir de passer à l’allaitement mixte. Avec le risque, toutefois, de voir votre lactation se tarir rapidement.

Allaiter de manière simultanée ou alternée, est un choix personnel: certaines mères préfèrent allaiter un bébé à la fois. Dans certains moments, il est plus facile d'allaiter séparément (si un bébé a du mal à prendre le sein, ou en public) ou plus satisfaisant (si on veut avoir une relation privilégiée avec l'un des bébés). Dans ce cas, pour chaque tétée, instaurez un ordre selon l'état de satiété de chacun. Observez bien chaque réaction. Si un préfère s'endormir au sein, laissez-le téter en dernier. En autres moments, l'allaitement simultané est bien commode (quand les bébés ont faim au même temps !). Dans ce cas, assurez de bien les caler avec plusieurs coussins ou oreillers. Il peut être utile aussi de proposer alternativement un sein à chaque bébé quand ils ont deux succions très différentes, pour éviter les engorgements. Mais le plus souvent, il peut être plus simple pour vous y retrouver d'adopter le schéma : « un sein toutes les 12 ou 24 heures »
Une chose vraiment important et qui peut supporter les mamans est d’impliquer le papa : D'une part, il doit vous apporter un soutien psychologique sans faille, d'autre part, il doit vous seconder de près. Vous devez lui déléguer entièrement la gestion de la maison, pour ne vous consacrer qu'à manger, dormir et allaiter.

Le sommeil des jumeaux

Les habitudes de sommeil des enfants s'acquièrent pendant les premiers jours. Du le début, il est important de planifier les heures de sommeil.
Instaurer une routine régulière pour la mise au lit peut aider : le bain, les chansons, les bisous, avant d’aller dormir. Toutes les personnes concernées doivent suivre régulièrement ce plan avec une bonne coordination entre elles.

Envoyez les nourrissons au lit à intervalles réguliers pendant la journée dans leur chambre. Mais pas dans les pièces communes où ils risquent d’être dérangés et de vous déranger aussi. Il est mieux de les faire dormir, du début, chacun dans son berceau.
Mais il peut être pratique de les faire dormir ensemble. Pendant les premières semaines, leur estomac est relativement petit. Ils ont probablement besoin de boire environ toutes les 3 heures, même la nuit.

À la sortie du service néonatal, le changement peut les rendre un peu nerveux (et vous aussi…) et ils risquent de prendre la nuit pour le jour.
Il vous faudra peut-être un peu de temps pour vous sentir à l’aise. Mais, ne vous inquiétez pas, c’est normal!!

Pour se promener avec eux

Il arrive aussi le moment de se promener avec les deux pouces…et donc il faut bien choisir des landaus ou des poussettes les plus pratiques possibles. Comme première chose on devrait chercher "pour jumeaux" des modèles qui permettraient de promener 2 nouveaux-nés en position allongée ; les poussettes pour enfants d’âges rapprochés ne permettent de coucher en position allongée qu’un seul enfant. Dans la réalité, c’est bien plus complexe et il y a des rusés qui tentent de vous arnaquer ! Il s’agit de trouver un compromis entre le poids, la longueur, la largeur et l’encombrement. Le pliage a aussi son importance. Et les roues : pivotantes ou non ! ainsi que leur diamètre !

lundi 11 mai 2009

Quand arrêter la tétine ?

Les parents sont conscients que la sucette est l’objet qui attire l’attention du bébé dans les premiers mois de vie et aussi ensuite, le bébé concentre son intérêt. La raison est facile à deviner: la succion satisfait le besoin primaire de nutrition et elle devient un antidote contre la peur et la solitude, sensations très communes dans les nouveaux-nés et aussi dans les bébés plus grands.

La tétine, qui ressemble aux mamelons de la maman, permet au bébé de se calmer et se consoler quand la maman est absente : la tétine présente un aide psychologique efficace qui remplace du rôle de mère.



Voilà les effets positifs de la tétine :
  1. Elle favorise le sommeil
  2. Elle aide à se détendre
  3. Elle est toujours à portée de main et donc elle rassure et donne un sens de protection au bébé
  4. Elle donne plaisir : dans la période entre la naissance et les deux années de vie (définie par les psychologues comme « stade oral » ) la bouche du bébé représente une source primordiale et la succion lui permet d’explorer le monde
  5. ’idéal pour ne pas déformer le palais est de utiliser une tétine plate
Il arrive un moment dans la vie du bébé où il faut arrêter la tétine, que normalement l’enfant refuse à 2-3 ans environ et sûrement entre le 4ieme ans de vie ; en effet cette période correspond au développement de l’autonomie et de la perception de soi-même. Mais est aussi vrai qu’il ne pas possible d’établir le moment précis pour abandonner la tétine, surtout parce ce qu’il change selon des bébés.
Dans tous les cas il ne faut pas confisquer au bébé la tétine du jour au lendemain, mais il faut lui apprendre à s’en défaire peu à peu, sinon il y a le risque que le bébé soit obsédé par l’idée d’avoir perdu un objet très important pour lui.

Les petits trucs pour lui le faire « décrocher »

- Comme première chose il faut avoir patience et dédier du temps au bébé
- Evitez de donner la tétine à votre bébé quand il pleure
Il est plus sage de le bercer ou de l’apaiser pour qu’il se sente mieux
- Enlevez-lui la tétine chaque fois qu’il cesse de la sucer ou quand il la jette à terre
- Dès qu’il commence à marcher à quatre pattes, laissez la tétine dans le berceau de telle sorte qu’il ne l’utilise que lors de la sieste ou pendant la nuit
- Il convient d’essayer à utiliser la tétin que pour dormir
- Vous pouvez aussi convaincre l’enfant à offrir la tétine à son peluche en lui disant qu’il est encore petit et qu’il a besoin de la tétine ou, encore de lui dire de la jeter dans la mer

Abstraction faite de la tactique utilisée il faut toujours se rappeler que les enfants acquièrent l’habitude de sucer dès les premières semaines de vie. Si vous optez pour la tétine, faites le dans les 6 premiers mois, période pendant laquelle le besoin de téter est le plus intense. La tétine est préférable au pouce qui peut provoquer des déformations du palais ou des gencives. Autant proposer la tétine avant que votre bébé ne se mette pas à sucer son pouce.

mercredi 6 mai 2009

La bonne quantité d’eau pendant la grossesse et l’allaitement

Pendant la gestation l’organisme modifie ses mécanismes pour s’adapter au nouveau état physiologique avec des nouveaux paramètres endocrine-métaboliques.
On a relevé dans les femmes enceintes une grande absorption de calcium, fer et vitamine B12; le calcium en particulier est un élément très important pour le développement squelettique du bébé; l’enfant qui va naître est un sorte de "petit voleur" de calcium contenu dans la squelette humaine, donc le manque de ce minéral ne saurait pas dangereux pour le bébé, mais pour la maman.
Pour

toute la période de la grossesse et allaitement il est bien recommandé l’administration de 2 litres d’eau par jour avec composition contrôlée, bactériologiquement pure, classifiée selon son résidu fixe, comme eau à minéralisation moyenne. En plus un bas contenu de sodium aide à combattre la rétention de l’eau et le gonflement, fréquents pendant la grossesse dès premiers mois. La future maman devra choisir de l’eau minérale carbonate-calcique riche en calcium hautement assimilable avec une bonne administration de lait et dérivés.

Démystifions un mythe sur la consommation de l’eau

1. L’eau doit être bue entre les repas: faux ! Les temps de digestion s’allongeront, mais quand même une quantité d’eau proportionnée améliore la consistance des aliments digérés et elle est utile pour favoriser les processus digestifs.

2. L’eau fait grossir: faux! Les variations de poids dues à l’ingestion d’eau sont temporaires.

3. Boire beaucoup d’eau cause plus rétention d’eau: faux! La rétention d’eau depend seulement du sel et d’autres substances contenues dans les aliments que nous consommons.

4. Il faut choisir les eaux oligominérales par rapport aux eaux plus minéralisées pour soigner la cellulite: faux! Le sels contenus dans l’eau favorisent l’élimination des sels contenus en trop dans l’organisme. Il est bien recommandé d’alterner les eaux oligominérales avec les eaux riches en minérales pour ne pas appauvrir en sels minéraux un organisme en croissance.

5. Le calcium contenu dans l’eau n’est pas assimilé dans notre organisme: faux! La capacité de l’intestin humain d’assimiler le calcium contenu dans les eaux est pareille à la capacité d’assimiler le calcium contenu dans le lait.

6. Le calcium contenu dans l’eau favorise la formation des calculs rénaux: faux! Les personnes prédisposées à la formation de calculs rénaux doivent boire abondamment et plusieurs fois pendant la journée. Par contre on a demontré que les eaux modérément riches en calcium peuvent représenter un facteur protecteur pour le bien-être de la maman.

7. Les bains de vapeur font maigrir: faux! Les bains de vapeur explulse la sueur et donc l’organisme recouvrera le poids.

La quantité proportionnée d’eau pour le nouveau-né

Généralement on conseille les eaux à résidu fixe entre 250 et 500 mg/l. L’eau riche en micro-éléments, essentiels pour la croissance, comme calcium, magnésium et fluor, sont fondamentaux pour le développement de la structure osseuse et des dents. Elle est indiquée pour les nouveaux-nés et les enfants pour dissoudre le lait dans le biberon et aussi pour désaltérer votre bébé.